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- Le possible (1)
- Des moments de plaisir (1)
- En fait, chaque fois que l'on combine et que l'on enregistre des faits selon des processus établis, l'aspect créatif de la réflexion n'est concerné que par la sélection des données et le processus pour les traiter, et la manipulation qui s'en suit a par nature un caractère répétitif, qui est en passe d'être reléguée à la machine. (1)
- Notre incapacité à accéder à l'archive est principalement causée par l'artificialité de ces systèmes d'indexation. Quelque soit leur type, les données stockées sont classées par ordre alphabétique ou numérique et l'information est obtenue (quand elle est trouvée) en parcourant leurs sous-classes. Une donnée ne peut être qu'en un seul lieu, sauf s'il en est fait un duplicata'; on doit mettre en place des règles pour normer son emplacement, et ces règles sont encombrantes. Après avoir trouvé un élément, il faut sortir du système et y revenir en utilisant un chemin différent... L'esprit humain ne fonctionne pas de cette façon. Il opère par association. Avec un élément en tête, il passe immédiatement au suivant, suggéré par association d'idées, en accord avec un réseau d'intrications complexes générés par les cellules du cerveau. Il a bien sûr d'autres caractéristiques'; les chemins de pensées qui ne sont pas fréquemment utilisés sont voués à s'effacer, les informations ne sont jamais complètement permanentes, la mémoire est transitoire. Mais la rapidité, la complexité des chemins parcourus, les détails des images mentales, sont plus incroyablement inspirantes que n'importe quoi d'autre dans la nature... Imaginons un appareil de l'avenir à usage individuel, une sorte de classeur et de bibliothèque personnels et mécaniques. Il lui faut un nom et créons-en un au hasard, «'memex'» fera l'affaire. Un memex, c'est un appareil dans lequel une personne stocke tous ses livres, ses archives et sa correspondance, et qui est automatisé de façon à permettre la consultation à une vitesse énorme et avec une grande souplesse. Il s'agit d'un supplément agrandi et intime de sa mémoire. Cet appareil est constitué d'un bureau, et s'il peut probablement être actionné à distance, c'est avant tout un meuble sur lequel travailler. Au dessus, des écrans translucides inclinés permettent la projection de documents pour la lecture. Il y a un clavier et un ensemble de boutons et de leviers. À part cela, il ressemble à un bureau ordinaire. À une extrémité, on trouve les documents stockés. Leur quantité est prise en charge par l'amélioration du microfilm. Seule une petite partie de l'intérieur du memex est dédiée au stockage, le reste est consacré au mécanisme. Même si l'utilisateur introduit 5000 pages par jour, il lui faudrait des centaines d'années pour remplir la base de données, il peut donc être dispendieux et entrer des éléments librement. La plupart des contenus du memex peuvent être achetés sous forme de microfilms prêts à la lecture. Des livres de toutes sortes, des images, des périodiques, des journaux sont ainsi rassemblés au même endroit. La correspondance professionnelle prend le même chemin. Et il reste de quoi entrer des documents directement. Sur le plateau du memex se trouve une plaque transparente. On peut y placer des notes manuscrites, des photographies, des mémos ' toute sorte de chose. Quand un élément est en place, un levier permet de le photographier pour le stocker sur le plus proche espace vierge du film du memex, par un procédé de photographie à émulsion sèche. Bien entendu, le memex offre la possibilité de consulter l'enregistrement via l'index classique. Si l'utilisateur veut consulter un livre précis, il tape le code associé sur le clavier, et la page de titre de l'ouvrage apparaît rapidement sous ses yeux, projetée sur l'un de ses écrans. Les codes les plus utilisés sont retenus par l'usager afin qu'il n'ait que rarement à consulter l'index de référence. Quand il doit le faire, une simple touche permet de l'afficher. De plus, il dispose de leviers supplémentaires. En inclinant l'un de ces leviers vers la droite, il parcourt le livre devant lui, chaque page étant à son tour affichée à une vitesse permettant leur reconnaissance rapide. S'il dévie encore à droite, il parcourt 10 pages à la fois'; plus loin encore, c'est 100 pages à la fois. En inclinant le levier vers la gauche, il obtient le même contrôle vers l'arrière. Un bouton spécial permet d'atteindre directement la première page de l'index. N'importe quel livre de sa bibliothèque peut ainsi être trouvé et consulté bien plus facilement que s'il fallait le prendre sur une étagère. Comme le memex possède plusieurs écrans, l'utilisateur peut laisser un élément d'un côté tout en affichant un autre. Il peut ajouter des notes et des commentaires, tirant profit des applications possibles de la photographie à émulsion sèche. Nous pourrions même lui permettre de les saisir au stylet, à la manière du télautographe des salles d'attentes des gares, exactement comme s'il avait la page physique devant lui. Tout cela est connu, à l'exception de la projection dans le futur des mécanismes et gadgets actuels. Cependant, le memex propose cependant un progrès immédiat, celui d'une indexation associative ' l'idée d'avoir une disposition dans laquelle tout objet peut être convoqué à volonté pour sélectionner immédiatement et automatiquement un autre. C'est la caractéristique distinctive du memex. Le processus permettant de lier deux éléments est essentiel. Quand l'usager construit un chemin, il le nomme, insère son nom dans l'index de référence et le tape au clavier. Devant lui se trouvent les deux éléments à lier, affichés sur les écrans adjacents. En bas de chacun, il y a un certain nombre de cases vierges de code et un curseur pointant l'une d'elles sur chaque élément. L'utilisateur presse une touche et les éléments sont alors reliés de manière durable. Dans chacun des espaces de code apparaît la référence. Invisible, mais aussi dans l'espace du code, un ensemble de points est destiné à la visualisation par cellule photoélectrique. Sur chacun des éléments, ces points désignent grâce à leur position le numéro de référence de l'élément lié. Par la suite, quand l'un de ces éléments est affiché, l'autre peut être instantanément et à tout moment convoqué en appuyant sur un bouton sous la case correspondante. De plus, lorsque de nombreux articles sont ainsi reliés pour former un itinéraire, ils peuvent être passés en revue, rapidement ou pas, en se servant du levier comme pour parcourir un livre. C'est exactement comme si des éléments physiques d'origines diverses avaient été rassemblés pour former un livre. Cependant le memex est plus que cela, puisque n'importe quel élément peut appartenir à de nombreux itinéraires différents. Disons que le propriétaire du memex est intéressé par l'origine et les propriétés de l'arc et sa flèche. Il étudie précisément pourquoi l'arc court turc semblait supérieur à l'arc long anglais durant les affrontements des Croisades. Il a des dizaines de livres et d'articles potentiellement intéressants dans son memex. Il commence par parcourir une encyclopédie, y repère un article intéressant mais peu précis, et le laisse affiché. Ensuite, dans un récit, il trouve un autre élément pertinent, et lie les deux ensemble. Il continue ainsi, construisant un réseau d'éléments sources. Parfois, il insère un commentaire, qu'il soit relié au réseau principal ou afférent à un élément en particulier. Quand il constate que l'élasticité des matériaux disponibles avait une grande influence sur la qualité des arcs, il crée une nouvelle ramification qui l'amène à explorer des manuels sur l'élasticité et les contraintes physiques. Il insère une page d'analyse manuscrite. Il construit ainsi son propre itinéraire parmi le labyrinthe de documents mis à sa disposition. Ses itinéraires ne s'effacent pas. Des années plus tard, lors d'une discussion, il aborde les méthodes étranges par lesquels un peuple résiste aux innovations, même si elles présentent un intérêt vital. Son exemple s'appuie sur le fait que les européens, vexés, n'ont pas adopté l'arc turc. Il a même un corpus sur le sujet. Une touche lui affiche le livre de références. Entrer quelques caractères affiche le début du chemin. Un levier permet de le parcourir, de s'arrêter aux éléments intéressants, d'explorer les pistes secondaires. Le corpus est intéressant, pertinent pour la discussion. Il lance le mécanisme de reproduction, photographie l'ensemble du réseau de documents, et le donne à son ami pour qu'il puisse le stocker dans son propre memex et y être lié au réseau plus générique. Des formes inédites d'encyclopédies vont apparaître, prêtes à l'emploi grâce aux intersections des chemins d'associations de documents qui les traversent, prêtes à être transférées dans le memex pour y être amplifiées. L'avocat a à sa disposition l'association des opinions et des décisions de toute sa carrière, liée à l'expérience de ses amis et des autorités. Le mandataire en brevets peut accéder aux millions de brevets délivrés, avec des réseaux familiers concernant tous les points d'intérêt de son client. Le médecin, perplexe devant les symptômes d'un patient, explore le réseau établi durant l'étude de cas similaires, avec des références annexes aux notions d'anatomie et d'histologie pertinents. Le chimiste, en prise avec la synthèse d'un composé organique, a toute la littérature de la discipline devant lui au laboratoire, des itinéraires visualisant les similarités avec d'autres composés, et en annexe leur comportement physique et chimique. L'historien met en parallèle le vaste récit chronologique d'un peuple et un itinéraire en pointillés qui ne relie que les points éminents, et peut suivre à tout moment un réseau lui permettant de parcourir toute l'histoire de la civilisation à une époque particulière. Cela donne naissance à une nouvelle profession d'explorateurs et créateurs d'itinéraires, dont les représentants prennent plaisir à établir des itinéraires utiles dans l'énorme masse des enregistrements communs. L'héritage d'un maître n'est plus seulement ce qu'il apporte au savoir humain, c'est aussi l'ensemble des réseaux et itinéraires lui ayant servi à échafauder à sa pensée. (1)
- Notre dignité d'êtres humains est agressée par les machines (1)
- La dignité (1)
- "Il existe une dystopie qui n'a aucune chance de se réaliser un jour, c'est celle de l'acquisition de la conscience par la machine. C'est celle de Pygmalion, Frankenstein, Pinnochio, Terminator, Star Wars, Matrix... et enfin Chat GPT.", Raphaël Enthoven (1)
- Tout progrès favorise une paresse. Par exemple l'écriture avec la mémoire (1)
- La frontière entre l'homme et la machine se brouille, nous interagissons de plus en plus avec des prouesses techniques (1)
- La place qu'occupent les machines dans nos vies ne suffira jamais à les substituer à l'homme. (1)
- Le je-ne-sais-quoi (1)
- Former ensemble des jugements (1)
- Les initiatives et expérimentations minoritaires sont une dimension essentielle de la démocratie car elles permettent l'exploration de solutions alternatives aux problèmes de la cité (1)
- Agencements (1)
- Techniques intellectuelles (1)
- Une immense encyclopédie vivante (1)
- Mettre en contact des éléments d'information (1)
- L'état des techniques influe effectivement sur la topologie du méga-réseau cognitif, sur les types d'opérations qui s'y déploient, les vitesses de transformation et de circulation des représentations qui rythment sa métamorphose perpétuelle... Une certaine configuration de technologies intellectuelles à un moment donné ouvre un certain champ de possibles à une culture... La signification et le rôle d'une configuration technique à un moment donné ne peuvent se séparer du projet qui l'anime, ou peut-être des projets concurrents qui se la disputent et la tiraillent en tous sens. (1)
- Outils de traitement (automatique) de l'information (1)
- Des paysages de sens (1)
- L'invention de nouveaux procédés de pensée... qui puissent faire émerger de véritables "intelligences collectives" (1)
- Une énonciation collective (1)
- Tout repose à long terme sur la souplesse et la vitalité de nos réseaux de production, de transaction et d'échange de savoirs (1)
- Mutualiser nos connaissances (1)
- Le problème de l'intelligence collective est de découvrir ou d'inventer un au-delà de l'écriture, un au-delà du langage tel que le traitement de l'information soit partout distribué et partout coordonné (1)
- Nous ne savons pas ce que nous devons créer (1)
- Le monde infini de la signification (1)
- L'ensemble des messages et des représentations circulant dans une société peut être considéré comme un grand hypertexte mouvant, labyrinthique, aux cent formats, aux mille voies et canaux. (1)
- Traduire d'anciens savoirs dans de nouvelles technologies intellectuelles revient à produire de nouveaux savoirs (1)
- Nous articulons aux appareils spécialisés de notre système nerveux des dispositifs de représentation et de traitement de l'information qui leur sont extérieurs. Nous construisons des automatismes (comme celui de la lecture) qui soudent très étroitement les modules biologiques et les technologies intellectuelles... Dès sa naissance, le petit humain pensant se constitue au moyen de langues, de machines, de systèmes de représentations qui vont structurer son expérience. (1)
- Un grand nombre de modules du système cognitif sont "encapsulés", automatiques et très rapides. Cela signifie, entre autre, qu'ils échappent à la conscience (1)
- Les créations de nouveaux modes de représentation et de manipulation de l'information marque des étapes importantes dans l'aventure intellectuelle de l'humanité. (1)
- La raison ne serait pas un attribut essentiel et immuable de l'âme humaine, mais un effet écologique, reposant sur l'usage de technologies intellectuelles variables dans l'espace et historiquement datées. (1)
- Constituer une classe revient à tracer des limites. Or, aucune frontière ne va de soi. Il y a sans doute des grandients et des discontinuités dans le monde, mais le strict découpage d'un ensemble suppose la sélection d'un ou plusieurs critères pour séparer l'extérieur de l'intérieur. Le choix de ces critères est forcément conventionnel, historique, circonstanciel. Où commencent l'Allemagne, la couleur bleue, l'intelligence ? La plupart du temps, répétons le, les concepts et les classes d'équivalence permettant de reconnaître des analogies et de sidentités sont tracés par la culture. Mais des groupes ou même des individus peuvent, non sans difficulté, remettre en question une partie de ces délimitations conceptuelles. (1)
- Les dispositifs matériels sont des formes de mémoires. Intelligence, concepts et même visions du monde ne sont pas seulement gelés dans les langues, ils sont aussi cristallisés dans les instruments de travail, les machines, les méthodes (1)
- L'esprit est majoritairement inconscient, machinal, fait de pièces et de morceaux. L'ignorance mutuelle de ces parties assure la rapidité et l'indépendance de certains traitements (1)
- La majeure partie du fonctionnement de notre esprit échappe à notre contrôle volontaire. (1)
- Comment délimiter nettement la pensée de ce dont elle vit et qui s'étend dans toutes les directions, sans limites précises ? Comment séparer l'intelligence du réseau organique, objectif, social, auquel elle tient ? (1)
- Certes, la personne pense, mais parce qu'un méga-réesau cosmopolite pense en elle, villes et neurones, école publique et neurotransmetteurs, systèmes de signes et réflexes. En cessant de maintenir la conscience individuelle au centre, on découvre un nouveau paysage cognitif, plus complexe, plus riche. (1)
- L'ordinateur ou bien encore l'arrangement formé par le papier, le crayon et l'alphabet forment des micro-modules relativement cohérents qui viennent s'ajouter comme des noeuds supplémentaires à de nombreux autres noeuds semi-indépendants d'un réseau cognitif à la fois personnel et transpersonnel. (1)
- La conscience fonctionne précisément en s'érigeant comme centre causal et source de représentation. En proclamant "Je sais, je pense, je veux etc.", elle s'approprie et s'attribue ce qui, en toute rigueur, n'appartient qu'à un agencement infiniment complexe dépassant les limites de l'individu (1)
- La linéarité et le sentiment d'unité ne valent qu'à une échelle moyenne d'introspection. Au niveau neuronal, le fonctionnement parallèle, la multiplicité des entités en interaction, et donc l'inconscience, sont au contraire des traits déterminant. Ni la conscience, ni l'unité substantielle, ni le fonctionnement séquentiel ne sont indispensables à la pensée (1)
- Puisqu'elle conditionne toutes les autres, la production continue de subjectivité sera probablement considérée, au siècle prochain, comme l'activité économique principale (1)
- La production de subjectivité (1)
- L'aménagement d'une société vivable (1)
- Elever l'intelligence des hommes (1)
- Un immense besoin de collectif (1)
- ... En résulte un terrible désarroi, un immense besoin de collectif, de lien, de reconnaissance et d'identité... La déterriorialisation eccélérée suscite une véritable industrie de la restauration du lien social, de le réinsertion des exclus, de la refonte d'identités pour individus et communautés déstructurées... C'est sous la pression d'une véritable urgence sociale que le secteur de la production de lien est appelé à se développer. (1)
- Une économie des qualités humaines (1)
- La richesse humaine (1)
- Combinaison, mixage, réordonnancement des signes, le cyberspace interconnecte virtuellement tous les messages numérisés (1)
- Comment rendre évident pour tous que l'autre est un porteur unique de savoir-faire et de créativité ? (1)
- Constituer des sujets collectifs d'énonciation (1)
- Des agencements d'énonciation (1)
- Elaborer et raffiner les problèmes communs, ouvrir de nouvelles questions, forger des arguments, énpncer et adopter des positions indépendantes les unes des autres sur une grande variété de sujets (1)
- La construction collective du sens (1)
- Navigation dans l'information (1)
- Des techniques de construction interactive et de visualisation d'espaces de signification (1)
- La richesse humaine n'est plus seulement la finalité théorique de l'activité économique, elle en devient la condition expresse. (1)
- L'attention à la bonté des autres (1)
- Favoriser la construction de collectifs intelligents où les potentialités sociales et cognitives de chacun pourront se développer et s'amplifier mutuellement (1)
- Renouvellement du lien social par le rapport à la connaissance (1)
- Rendre l'information "navigable" (1)
- Des instruments pour filtrer l'information pertinente, opérer des rapprochements de significations... (1)
- Interactions coopératives dans le cyberespace international (1)
- La capacité d'apprentissage et d'imagination collective (1)
- La culture, un patrimoine commun (1)
- Découpage et définition des objets (1)
- L'hospitalité maintient la possibilité de voyager, de rencontrer l'autre, en général. Par l'hospitalité, celui qui est différent, étrange, est accueilli, compris dans une communauté. (1)
- Le travail dinclusion de tous par tous (1)
- Ingénierie du lien social : l'art de faire vivre des colectifs intelligents (1)
- Web herméneutique (1)
- La réinterprétation de la mémoire (1)
- "La machine ne prend pas le chemin de la pensée", Raphaël Enthoven (1)
- Tout comme les peintres ont inventé l'art abstrait pour contrer l'arrivée de la photographie, l'avènement de l'intelligence artificielle pourrait s'accompagner d'une réactivation de la vie de l'esprit. (1)
- Le bonheur est né de l'altruisme et le malheur de l'égoïsme (1)
- Il n?y a pas d?autre bonheur que la paix. (1)
- La mère de toutes les questions : Etes-vous heureux ? (1)
- Vouloir moins afin d?être plus (1)
- Savoir attendre (1)
- A qui sait attendre, le temps ouvre les portes. (1)
- C'est réunis que les charbons brûlent ; c'est en se séparant que les charbons s'éteignent. (1)
- Les mots sont nos vies (1)
- We could with a word become one (1)
- If one swept the words away One could touch the universe (1)
- Et pour tous ces mots qui blessent. Il y a ceux qui nous caressent. Qui illuminent, qui touchent l'infini. (1)
- Avec un mot, nous pourrions être un (1)
- Les mots sont des mystères (1)
- Si nous faisions disparaître les mots, nous pourrions toucher l'univers (1)
- Le bonheur est un choix (1)
- Le bonheur ne se décrète pas, ne se convoque pas mais se cultive peu à peu dans la durée. (1)
- Toqueville : principe prophétique de la " tyrannie douce " (1)
- F. Mitterrand, dans une forêt du Morvan, " Ce serait quand même merveilleux, si tout s'arrêtait à l'instant et que nous puissions vivre jusqu'à la fin des temps le bonheur que nous vivons maintenant ! " (1)
- La cupidité, la matérialisme et le culte des apparences, les trois faces de la même fange où nous sommes en train de nous perdre. (1)
- Une plénitude qui dispense de chercher sans raison. (1)
- La nécessité du détachement : Détacher notre désir de tous les biens et attendre. L'expérience prouve que cette attente est comblée. On touche alors le bien absolu. (1)
- Vanité de la possession : on ne possède que ce à quoi on renonce. (1)
- Le christianisme connaitra peut-être, après sa refondation franciscaine, une renaissance épicurienne. (1)
- Le christianisme (1)
- L'unique bien, c'est la vie (1)
- Va toujours par le chemin le plus court, et le plus court est le chemin tracé par la nature. (1)
- Les gens heureux n'ont pas besoin de se presser. (1)
- La marque constante de la sagesse est de voir le miraculeux dans le banal. (1)
- "Dieu, c'est à dire la nature" : Spinoza réintègre l'espèce humaine dans la nature... Pour Spinoza, Dieu est partout, il est à la fois cosmopolite, oeucuménique et protéiforme. Il est moi, il est toi, il est l'air que nous respirons et le gazon sur lequel nous marchons. (1)
- As-tu besoin d'un cinq-étoiles Quand t'en as cinq milliards dans l'ciel (1)
- Words are mysteries (1)
- Nous savons donc à quoi employer notre temps maintenant : créer et inventer des solutions pour le futur. (1)
- C'est la faute au biz (1)
- L'économie c'est toujours plus de loups dans la bergerie (1)
- Le monstre aux yeux verts, synonyme de la jalousie, taxe l'eau su Sahel juste pour remplir son jacuzi (1)
- Les plus grands gangster font du marketing (1)
- Aujourd'hui les affranchis roulent en berline à Paris (1)
- Il rêve de politique pour être un gangster moderne (1)
- Est-ce les salauds qu'on adule ? (1)
- Dans les bas fonds on rêve des fonds du FMI, mais au fond on sait que les familles sont souvent proches du RMI (1)
- Le soin apporté à chaque action a une valeur propre (1)
- Comprendre, c'est déjà aimer (1)
- Epouser le mouvement, se laisser aller dans le courant. (1)
- Y a pas que des gens bons à la tête de l'art (1)
- L'histoire de l'art a comme la couleur du dollar (1)
- L'histoire de l'art (1)
- La prison (1)
- Heureusement que la santé fleurit à Fresne (1)
- Il faut beaucoup de travail solitaire. Les réunions sont souvent des pertes de temps. Il faut méditer cette déception liée à la vie collective et son travail. (1)
- Il y a un véritable problème de la distraction en société du spectacle qui est aussi une société d'abrutissement. (1)
- Il ne suffit pas de décider de vivre à la mode bio pour régler les problèmes dits environnementaux. (1)
- S'abstenir de réfléchir sous prétexte que d'autres réfléchissent aux solutions n'est pas une solution, n'est pas une issue. C'est la leçon kantienne que nous pouvons trouver dans ce texte magnifique: "Qu'est-ce que les lumières ?" (1)
- Les solutions n'existent pas toutes faites. Il n'y a pas de rayon « solutions » dans les supermarchés. Les solutions ne sont pas des produits de consommation, c'est pourquoi nous pouvons tous y réfléchir. Il faut rappeler qu'il faut même se méfier des philosophiques solutions, et qu'il nous faut méditer la théorie de la solution. (1)
- Se méfier des solutions philosophiques (1)
- La société du spectacle (1)
- La distraction (1)
- Ne pas sous estimer le cerveau (1)
- Le cerveau (1)
- Le hasard (1)
- Ne pas sous-estimer les petits et grands hasards (1)
- Ecologie de l'attention (1)
- La destruction de soi : Nous ne possédons rien au monde car le hasard peut tout nous ôter sinon le pouvoir de dire je. C'est cela qu'il faut donner à Dieu, c'est à dire détruire. Il n'y a absolument aucun autre acte libre qui nous soit permis, sinon la destruction du je. (1)
- Le vide (1)
- Lately I find myself out gazing at stars (1)
- Sometimes the things I do astound me (1)
- Le savoir est une arme et j'avais des munitions plein la tête (1)
- La curiosité à l'égard des secrets de la nature, ou comment un vice stigmatisé par les théologiens et les moralistes est devenu une vertu, si ce n'est un attribut, de la dignité de l'homme. (1)
- I play dead, it stops the hurting (1)
- Darling, stop confusing me with your wishful thinking (1)
- There's more to life than this (1)
- Il y a autre chose dans la vie (1)
- He believes in a beauty (1)
- Les monastères, où la vie semble un sourire inaltérable (1)
- There's no-one here, and people everywhere (1)
- They're terribly, terribly, terribly moody, oh, human behaviour. Then all of a sudden turn happy (1)
- If you ever get close to a human, and human behaviour, be ready, be ready to get confused (1)
- There's definitely, definitely, definitely no logic to human behaviour. But yet so, yet so irresistible (1)
- C'est au fond de tes yeux, que je foutrai le feu (1)
- Allez avance, n'aie pas peur (1)
- D'après Georges Canguilhem, il n'est de maladie que d'expérience vécue par le malade (1)
- La maladie (1)
- Les sciences humaines (1)
- Tout ce qui relève de la science humaine ne peut pas être délégué à des machines (1)
- La singularité humaine ne peut pas faire l'objet d'une synthèse ni même de la compréhension par la machine (1)
- La singularité humaine (1)
- Tout ce qui dans nos existences déjoue leur mise en chiffres, de l'amour à la prescription (1)
- Le numérique (1)
- Si tu connais le désir qui va vite, et qui dure longtemps, je voudrais que tu m'y précipites (1)
- Même si c'est la crise en permanence et que nous sommes complètement chômeurs, on trouvera la solution je pense (1)
- Les éléments de langage (1)
- Le globish, le franglais, les éléments de langages qui contaminent le monde de l'entreprise, le monde politique... (1)
- Une machine (chat gpt) peut faire la sommation de tout le savoir disponible sur le sujet de notre choix, en quelques secondes. Cela est extraordinaire. (1)
- L'injustice (1)
- Augustin concevait Dieu comme "une substance immense pénétrant de toutes part à travers les espaces infinis la masse entière du monde, répandue sans terme dans l'immensité". (1)
- De la bêtise (1)
- La joie pleine (1)
- Je me sens bête, comme le martinet ou l'hirondelle qui, dans le ciel, dessinent en nageant d'immenses arabesques. (1)
- Le cynisme et la cupidité, les deux vraies idéologies de la société moderne. (1)
- Il n'y a que Dieu qui peut avoir créé l'idée de Dieu. (1)
- "Tout est vide et vivant" (1)
- François d'Assise décrète que les bêtes sont nos frères et nos soeurs. (1)
- Le pharisaïsme de notre époque (1)
- L'âme, c'est comme Dieu. Elle ne se prouve ni s'argumente, elle s'expérimente. (1)
- L'âme (1)
- L'univers (1)
- Savoir se fondre dns l'univers (1)
- Le christianisme sera un panthéisme ou ne sera plus. (1)
- Le règne du relativisme triomphant (1)
- Devant un ciel ou un paysage comme ça, il est impossible de ne pas voir Dieu, de ne pas le sentir, de n'avoir pas envie de lui parler. (1)
- Les religions meurent de l'esprit de sérieux. La foi sera joyeuse ou ne sera pas. (1)
- Schopenhauer et le bouddhisme (1)
- La joie du croyant (1)
- Certitude (1)
- « Certitude, certitude, sentiment, joie, paix... », parchemin retrouvé après la mort de Pascal, cousu dans la doublure de son habit. (1)
- L'immensité (1)
- La « joie parfaite », célébrée par saint François d'Assise (1)
- Il n'est pas nécessaire qu'une histoire soit vraie pour y croire (1)
- Le christianisme a offert au monde la Vierge Marie (1)
- La joie d'être ensemble ou d'être là, tout simplement. La joie de nous retrouver dans les yeux aimés d'un amour ou d'un enfant. La joie de se mélanger à l'univers. La joie qui fait de Dieu une évidence. Je crois à la preuve par la joie. (1)
- Simone Weil : « En toute chose, seul ce qui nous vient du dehors, gratuitement, par surprise, comme un don du sort, sans que nous l'ayons cherché, est joie pure » (1)
- Dieu se confond avec le monde et correspond à la définition de Tolstoï : "Ce tout illimité dont l'homme se sent une partie limitée" (1)
- Je crois au Dieu Univers, et non au Dieu créateur. (1)
- On dirait que la société moderne s'acharne à effacer les preuves de l'existence de Dieu. (1)
- Passage du concept de vérité à celui de pertinence. (1)
- Inventer de nouvelles structures discursives, découvrir des rhétiriques encore inconnues ..., du texte à géométrie variable... (1)
- De même, personne n'a le droit d'exiger de moi que ma vie consiste à être prisonnier de certaines fonctions. Pour moi, ce n'est pas le devoir avant tout mais : la vie avant tout. Tout comme les autres hommes, je dois avoir droit à des moments où je puisse faire un pas de côté et sentir que je ne suis pas seulement une partie de cette masse que l'on appelle la population du globe, mais aussi une unité autonome. (1)


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