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- Le coeur de l'Eveil remplit l'univers de la résonance, puisque l'Eveil consiste précisément à s'éveiller à l'écho constant que la Nature se fait à elle-même. Tel est le sens du mot de l'Eveillé-Shâkyamuni : "Lorsqu'est apparue l'étoile du matin, j'ai réalisé la Voie avec la vaste terre et tous les êtres vivants." (1)
- Plus le texte est trituré, commenté, interprété et traduit, plus sa valeur augmente (1)
- Le sens tel qu'il est conçu chez Dôgen est essentiellement de l'ordre de la production, l'ordre du paraître. C'est pourquoi il doit naître ici et maintenant dans cet univers de la résonance qui est l'écriture, par la trituration d'une fleur. [...] Le sens doit se réaliser comme présence à ce-juste-moment-tel-quel où la pureté de la méditation assise sans formes ni couleurs - comme l'Oeil sans objet - transperce le recto. L'ordre atemporel du zazen dans sa radicalité du rien réalisera alors de parfaites épousailles avec l'ordre temporel de la Loi du phénomène, sans mélange ni confusion. Le sens n'est ni du côté du recto ni du côté du verso, ni du côté du texte (l'objet) ni du côté du lecteur (le sujet) ; il est de l'ordre de la rencontre et de la résonance. (1)
- "Nouvelle Renaissance" (1)
- Le tribalisme (1)
- L'"être-ensemble" (1)
- La jouissance de ce monde tel qu'il est (1)
- Réenchantement du monde (1)
- Bien-être (1)
- Immanence (1)
- La progressivité (1)
- Le vécu (1)
- La puissance des actes qui s'accumule (1)
- Lorsque la loi de cause à fruit est déjà clairement distinguée dans son aspect originel, elle n'est autre que le non-faire, la non-naissance, la non-permanence ; elle est sans ombre ni chute, puisqu'elle se dépouille d'elle-même ! (1)
- Veiller sur le trésor des mots (1)
- Devenir ce que l'on voit (1)
- Les êtres sans âme (1)
- Savoir est difficile (1)
- Savoir et action (1)
- Le savoir est une arme (1)
- Savoir réfléchir avant de juger (1)
- Connaissance et action (1)
- La nouveauté incroyable de l'existence d'autrui (1)
- Le plan de l'ouvrage défie le principe même d'une cohérence systématique, linéaire, didactique ou circulaire telle qu'elle s'est développée en occident. (1)
- La langue japonaise omet volontiers, lorsqu'ils sont évidents aux locuteurs, le sujet et les compléments de toutes sortes (compléments d'objet direct, second ou indirect, complément circonstanciels de lieu ou de temps etc.) (1)
- Tel qu'il se présente originalement, le Shôbôgenzô est constitué de calligraphies qui ne comportent aucune ponctuation, ni de virgule, ni de point final, ni de guillemets (1)
- L'univers du phénomène qui n'est ni vrai ni faux, tout comme le rêve, par son perpétuel mouvement de l'apparaître et du disparaître (1)
- Dans le Shôbôgenzô, la poésie et la philosophie, la surface et la profondeur ne font qu'une (1)
- Chez Dôgen, le langage est conçu comme matière à exploiter, et le mot est perçu comme chose parmi les choses du monde (1)
- Le français, langue sans pareille pour sa clarté et sa précision. (1)
- Le chinois, comme le japonais, n'est pas une langue flexionnelle ; les relations des mots et de chaque partie de la phrase, sont indiqués, non par le genre, la marque du singulier ou du pluriel, la déclinaison, la conjugaison, etc., mais seulement par la position des mots (1)
- Le chinois ancien ne connaît pas la copule "être"; le rapport du sujet et du prédicat est indiqué par une simple juxtaposition (1)
- Savoir le détail (1)
- Bien savoir les choses (1)
- Si je t'écris mon camarade | C'est pour parler de la saison | Si je t'écris | C'est que le vent de Foehn et de Lombarde | A abattu | Tous les hérons (1)
- L'échec de la rationalité face au divin (1)
- Cette nuit est un enfer (1)
- Partout on ne jure que mitraille | Que vengeance | Que punition (1)
- Les cinq sens (1)
- Evidemment, même si je perds mon temps (1)
- On dormira le jour (1)
- Evidemment on se retrouvera | Comme si on ne s'était jamais perdu (1)
- Pour qu'éclate de joie | chaque heure et chaque jour (1)
- Quand on n'a que l'amour | Pour parler aux canons | Et rien qu'une chanson | Pour convaincre un tambour (1)
- Déjà savoir (1)
- Ne pas savoir se décider (1)
- Savoir s'il faut commencer (1)
- Le temps perdu (1)
- Tu ne sais pas commment tu me fais me sentir Comme un idiot qui compte le temps perdu Entre un "On se voit" et un "Aujourd'hui je ne peux pas" (1)
- Saigne l'Afrique (1)
- Je veux être un homme heureux (1)
- C'est auprès de la nature que l'homme doit apprendre la liberté du non-faire (1)
- "Une fleur éclôt, et le monde se lève." A l'éclosion d'une seule fleur, le monde entier se transforme, puisque ce monde est un monde de la résonance (1)
- A obtenir l'équilibre, on voit l'équilibre (1)
- L'équilibre (1)
- Le mot japonais shizen : la "nature", veut dire littéralement "de soi-même ainsi", "ce qui va de soi", "ce qui advient spontanément". La tradition taoïste développera, à partir de ce mot, les notions de pure spontanéité et de non-agir, notions tournées vers l'état originel de fusion et de non-dépendance totale. (1)
- "Je méditais et méditais" (1)
- Mise en parallèle de l'inexistence du rêve et de la vacuité de l'objet perçu (1)
- L'expression courante muga-muchû veut dire littéralement le "non-moi au milieu du rêve". Il s'agit d'être absorbé, captivé ou transporté dans le total oubli de soi par tout ce qui ravit nos coeurs, telle jeu chez l'enfant, l'art, la conversation, le travail, les sentiments amoureux, etc. (1)
- Autour du "flow" (1)
- Malgré sa nature dépourvue de l'être-là réel, le rêve est soumis, comme tout autre phénomène, à la loi des actes (1)
- Dôgen signale que la pratique ne doit pas être conçue comme quelque chose tournée vers l'avenir (1)
- Les montagnes sont constamment au repos et constamment en marche. On parle de l'écoulement des montagnes et de l'écoulement du Soi (1)
- Dôgen affirme l'identité réciproque du temps et de l'existence ; le temps est l'existence, et l'existence est le temps (1)
- Un ancien éveillé dit : "Ne faites pas de mauvaises actions,/ Pratiquez les bonnes actions,/ Laissez d'elle-même se purifier cette conscience,/ Ceci n'est autre que l'enseignement de tous les éveillés. (1)
- Ainsité (1)
- Etudier à fond l'écoulement et le non-écoulement. Etudier à fond la montagne (1)
- Tous les existants sont en dernier lieu la délivrance de soi ; ils sont sans nulle demeure (1)
- L'eau coagulée est plus dure que le diamant. Qui pourrait la briser ? Fondue, l'eau est plus tendre que le lait. Qui pourrait la briser ? (1)
- L'eau ne résiste à rien et suit le cours naturel des choses. Ainsi, dans la pensée chinoise, la métaphore de l'eau est souvent associée au Dao et à l'idéal taoïste de non-agir (1)
- Du fait qu'elle coule toujours vers le bas, l'eau est ce vers quoi tout le reste conflue, appelant ainsi l'image de la vallée. Dans son humilité, elle est pourtant ce qui donne vie à toute chose, symbole en cela du féminin, du Yin qui conquiert le Yang par attraction plutôt que par contrainte. De la figure du féminin, on en arrive à celle de la mère. (1)
- Si on dit en français "faire des rêves", on dit en japonais "voir des rêves" (1)
- La vertu acquise des éveillés antérieurs vous purifie et vous sauve, elle fait naître en vous une foi pure et l'esprit d'application libérés de toutes entraves. Dès l'instant qu'apparaît cette foi pure, le soi-même et l'autre se font également transformer par elle. Le bénéfice de cette transfornation se répand sur les êtres sensibles et sur les êtres non sensibles. (1)
- Soyez-en donc persuadés une fois pour toute : non seulement votre point de vue n'est pas à déterminer comme le vôtre, mais il doit aussi exister l'enseignement essentiel dans les oeuvres des dix mille domaines. (1)
- Les domaines de la connaissance (1)
- Daijaku dit encore : "Tu étudies la méditation assise, c'est pour apprendre à être assis en éveillé" (1)
- Dans quel dessein pratiques-tu la méditation assise ? (En pratiquant la méditation assise, que dessines-tu ?). A tête reposée, étudiez à fond et pratiquez avec ingéniosité cette question (1)
- Kufû, la pratique ingénieuse (1)
- Le terme "kôjô" en japonais désigne la montée vers l'état absolu de l'Eveil où sont abolies toute opposition et toutes pensées discriminantes. (1)
- Limpide et pure, la méditation doit se pratiquer avec l'esprit de la gratuité et de la non-obtention et se situer dans la sphère de la vacuité (1)
- La gratuité, la non-obtention (1)
- Telle est la pratique ingénieuse appelée le dépouillement du corps et du coeur (1)
- Le mot hyô (le recto) ri (le verso) est le plus souvent employé comme synonyme de funi (le non-dualisme) : "Le recto et le verso ne font qu'un" (hyôri ittai) (1)
- Les trois poisons qui nuisent à la racine du bien sont la convoitise, la colère et l'ignorance (1)
- Formes-couleurs des montagnes et voix des vallées. C'est elles qui ont une immense langue et énoncent les quatre-vingt-quatre mille poèmes. (1)
- Tout est bon en tant que tel (1)
- La vertu acquise de la voix des vallées et des formes-couleurs des montagnes (1)
- Connaître en triturant, avec toutes nos forces, cet univers entier, les montagnes et les rivières (1)
- La connaissance consiste à ne pas souiller le phénomène ; ne pas souiller le phénomène est la connaissance. (1)
- La connaissance de soi n'est autre que les montagnes et les rivières, c'est à dire la Nature qui réalise sa propre image en se faisant écho à elle-même (1)
- Nous savons donc à quoi employer notre temps maintenant : créer et inventer des solutions pour le futur. (1)
- "Dieu, c'est à dire la nature" : Spinoza réintègre l'espèce humaine dans la nature... Pour Spinoza, Dieu est partout, il est à la fois cosmopolite, oeucuménique et protéiforme. Il est moi, il est toi, il est l'air que nous respirons et le gazon sur lequel nous marchons. (1)
- Le cri de tous les chefs d'oeuvre de l'antiquité et du monde moderne (1)
- Sometime I'm up, sometime I'm down (1)
- Nobody Knows the trouble I've seen (1)
- La chasse et la cueillette, l'ancienne sauvagerie (Rimbaud) (1)
- La musique acousmatique (1)
- Ecriture automatique : dictée de la pensée, en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale (1)
- Liberté : DADA DADA DADA, hurlement des couleurs crispées, entrelacement des contraires et de toutes les contradictions, des grotesques, des inconséquences : LA VIE (Manifeste dada, 1918) (1)
- Les contraires (1)
- Et je marche dans les rues sans savoir | Sans savoir vraiment, ni comment ni pourquoi, oh-oh-oh | J'en suis arrivé là (1)
- Une histoire qu'a pas de sens (1)
- La musique influence notre perception du monde (1)
- La musique peut modifier notre fréquence cardiaque et respiratoire. Elle déclenche une activité cérébrale spécifique et chamboule notre neuro-chimie. Elle stimule la totalité du cerveau. L'imagerie montre qu'on ne s'imagine pas juste éprouver ces émotions, mais que la musique déclenche une véritable explosion cérébrale. (1)
- La corps (1)
- Les émotions (1)
- La musique éveille en nous toute une gamme d'émotions. Elle nous fascine, nous bouleverse, nous emporte... Il existe peu de sentiments qu'on ne puisse pas associer à la musique. (1)
- Pas grand chose ne nous touche aussi fort que d'écouter de la musique (1)
- Le pouvoir des instruments sur nos affects intriguait déjà Shakespeare : "N'est-il pas étrange que des boyaux de mouton puisse extraire l'âme du corps humain ? (1)
- Partout dans le monde les humains jouent de la musique. On chante et on danse (1)
- Ces expériences les amenaient à considérer la poésie, non plus comme un système à la façon de Mallarmé, mais comme une libération, comme une possibilité d'accorder à l'esprit une liberté qu'ils n'avaient jusqu'alors à leurs yeux, jamais connue et à constater qu'elle les délivrait de l'appareil logique. (1)
- Les "grandes chasses intérieures" (Aragon) (1)
- La tentation de l'impossible (1)
- "N'allez pas où le chemin peut mener. Allez où il n'y a pas de chemin ? et laissez une trace.", Ralph Waldo Emerson (1)
- Abolition de la logique (1)
- Partir seul dans la nature (1)
- Aller au bout de ses rêves (1)
- Walden passe par la redécouverte des mots précis, des étymologies et des échos stylistiques (prosonomasie) entre les mots. « Les dénombrements sans fin des mots de Walden font [ainsi] partie de son entreprise de sauvetage du langage. » Thoreau rêve d'une « parole-écriture végétale qui ne serait lue ou entendue que par les oiseaux ou les anges ». Le secret de cette langue est possédé par les animaux du bois et par l'étang de Walden et « tout le livre parle du recouvrement prestigieux et possible d'une langue adamique, celle d'une profération poétique où les mots seraient adéquats aux choses. Il s'ensuit que l'animal, de par le fait qu'il est plus proche de la nature, détiendrait le secret de ce babil ancien et mimologique parlé à l'aube des temps. » Il existe donc deux langages : l'un maternel et l'autre paternel ; l'homme doit réapprendre à les parler. Proche de ce que sera plus tard la philosophie de Wittgenstein, Thoreau fait de Walden « une éducation à l'âge adulte pour redonner sens aux mots » ; Walden est ainsi « une entreprise de réappropriation du langage, exactement comme le Tractatus-philosophicus, une entreprise de réhabilitation du langage par le silence. » Plusieurs fois dans le roman, Thoreau écoute les cris animaux, ses « voisins inférieurs », et dont la langue est assimilée aux poèmes humains. Il les imite et tente d'en cerner la signification en laissant libre cours aux associations d'idées. Ses onomatopées et calembours sont la clé de cette langue adamique par laquelle Thoreau souhaite s'affranchir de la littérarité. Par ce travail du sonore, Thoreau entend établir « un protocole de lecture qui a pour fonction d'initier les lecteurs au plaisir du bruit ». La rencontre avec l'écho donne le départ du nouveau langage du narrateur, celui de l'harmonie imitative. Ce dernier lui permet de décrire la nature en donnant à chaque élément de celle-ci un son particulier, en accord avec son essence. Il s'agit d'une initiation car le processus d'acquisition linguistique est progressif. La nature s'humanise et « le meuglement lointain de quelques vaches » semble celui de « certains ménestrels », de même « les whippoorwills chantaient leurs vêpres ». Viennent ensuite les oiseaux qui laissent la place aux chats-huants, comparables à des « pleureuses ». Les animaux semblent articuler de plus en plus leurs langages, et, ce faisant, un sens se forme. Ils ne ressemblent plus à des hommes mais à des poètes : les chats-huants ont ainsi un « cri lugubre véritablement ben-jonsonien », en référence au poète Ben Jonson, contemporain de Shakespeare. En somme, Walden est « la manifestation suprême de cette conscience linguistique exigeante » de Thoreau. (1)
- L'harmonie avec la nature (1)
- Thoreau tente de montrer « comment la présence humaine et le paysage interagissent ». Thoreau nous montre que le paysage a la capacité de résister à l'action humaine mais aussi que l'homme doit équilibrer le milieu et aider la nature à faire jouer ses forces homéostasiques. En ce sens, Walden propose une « contre-idéologie du paysage ». Le paysagiste américain Ian McHarg (auteur de Design with Nature) s'inspire de cette idée, dont Thoreau est le pionnier. Cette relation, devenue intime, avec la nature permet à Thoreau de redéfinir jusqu'à l'acte d'écriture : il « définit son idéal littéraire par la capacité de l'écrivain à se soumettre à l'influence de la nature, à transposer la sauvagerie encore si largement présente sur le Nouveau Continent. Il emprunte au nationalisme littéraire américain l'idée selon laquelle les vastes étendues désertiques constituaient une ressource précieuse que l'Europe n'avait plus à sa disposition pour se redonner de l'énergie » (1)
- Abolition du futur (1)
- Croyance absolue indiscutable dans chaque dieu produit immédiat de la spontanéité (1)
- Au cours de nos recherches, nous avions constaté en effet que l'esprit, dégagé de toutes les pressions critiques et des habitudes scolaires, offrait des images et non des propositions logiques et que, si nous acceptions d'adopter ce que le psychiatre Pierre Janet appelait l'écriture automatique, nous notions des textes où nous décrivions un univers inexploré jusqu'alors. Nous décidâmes donc de nous donner quinze jours pour écrire en collaboration un ouvrage où nous [sic] interdisions de corriger et de raturer nos élucubrations. Nous n'eûmes aucune peine à respecter ce délai et c'est avec une joie croissante que nous prîmes connaissance des textes (1)
- Le délire poétique de Lautréamont (1)
- Le délire (1)
- L"écriture automatique révèle les constantes les plus fondamentales de l"individu (1)
- De la musique avant toute chose (1)
- La spontanéité (1)
- Respecter toutes les individualités dans leur folie du moment : sérieuse, craintive, timide, ardente, vigoureuse, décidée, enthousiaste (1)
- Cracher comme une cascade lumineuse la pensée désobligeante, ou amoureuse, ou la choyer, avec la vive satisfaction que c'est tout à fait égal (1)
- La musique a certaines fonctions, qui existent partout dans le monde. Partout dans le monde, les parents chantent pour apaiser leurs enfants, ils partagent et régulent leurs émotions avec la musique. Autre fonction : chanter pour séduire... C'est aussi un marqueur d'identité et de solidarité. (1)
- La musique nous lie, nous soude. Je ne suis plus simplement moi. Je deviens nous... (1)
- La culture fait partie de toute solution à toute nature de problème (1)
- théorie de la solution (1)
- La recherche de compréhension (1)
- Chaque pays a son génie en fonction de son histoire et de ses rêves. (1)
- L'éveil des consciences (1)
- Les nouvelles générations (1)
- Comment l'action politique pourrait reconquérir le coeur des peuples (1)
- Une contribution à l'éveil des consciences (1)
- Le besoin de partage (1)
- Regarder ensemble quelque chose de beau, s'émerveiller, partager une émotion culturelle ou esthétique relient les êtres entre eux (1)
- La méfiance sur laquelle l'étiquette de "complotiste" est vite plaquée pour n'avoir pas à répondre de ses actes et de ses choix (1)
- Le "complotisme" (1)
- Semer les idées (1)
- Le totalitarisme (1)
- Ce qu'Edgar Morin appelle "le totalitarisme technique et financier" (1)
- On comprend ce qu'est l'humanisme quand il disparaît (1)
- Un jeune va réussir par la confiance, en lui-même et dans les adultes qui le guident, pas par la violence ou le dénigrement. Il en va de même des peuples. (1)
- La gestion des problèmes par la peur pour obtenir le silence et l'obéissance (1)
- Nous avons la responsabilité de donner aux nouvelles générations des raisons de vouloir grandir dans ce monde et de le changer en mieux (1)
- Refuser la cruauté du monde (1)
- La musique permet de vivre des expériences qui sortent de l'ordinaire et qui nous permettent de mieux appréhender notre identité (1)
- La musique s'adresse à une partie de nous qui dépasse notre raison (1)
- Can I get a witness (1)
- La musique est une façon d'explorer toutes nos émotions dans un cadre sécurisé (1)
- La musique est liée à nos propres souvenirs, ce qui fait d'elle une machine à remonter le temps. Elle réssuscite des sentiments et des émotions passés (1)
- La musique favorise la cohésion sociale. La synchronisation de nos mouvements semble déclencher dans notre cerveau la sécrétion d'opioïdes endogènes, notamment des endorphines. Ces hormones favorisent le lien social et participent à réduire la peur, par exemple celle de se rapprocher d'autrui (1)
- En écoutant de la musique, nous cherchons inconsciemment des schémas, des régularités. (1)
- 90% de la musique est formé de répétition. La musique est structurée de manière à ce que nous sachions ce qui va suivre. Nous sommes dans l'attente de ce qui va suivre, c'est un jeu qui amuse notre cerveau. le public en sait plus en musique qu'il n'en a conscience. Les compositeurs peuvent satisfaire ou déjouer les attentes. (1)
- Le temps d'aimer est venu (1)
- La culture considérée comme "bien non essentiel" (1)
- Des ressources extraordinaires (1)
- Un monde beau et poétique (1)
- Le monde (1)
- La politique doit emprunter à l'amour comme barrage à la cruauté (1)
- La cruauté ne cesse de faire reculer la civilisation (1)
- Indignez-vous ! (1)
- La mondialisation libérale et la loi sans pitié du profit spéculatif détruisent tous les efforts collectifs de protection, ici et dans tous les pays du monde (1)
- Une nouvelle éthique (1)
- La propriété (1)
- La rage car l'Occident n'a toujours pas ôté sa tenue de colons (1)
- L'occident (1)
- La colonisation (1)
- La rage car ce monde ne nous correspond pas | Où Babylone s'engraisse pendant qu'on crève en bas (1)
- La rage du peuple (1)
- Le talent (1)
- Les images du monje (1)
- Le printemps dans la peinture (1)
- pouvoir changer l'humanité (1)
- Vois aux quatre coins du globe, la rage du peuple en ébullition (1)
- Il faudrait que je meure ou que j'aille à la plage (1)
- I have made the big decision: I'm gonna try to nullify my life (1)
- You think it's the end, but it's just the beginning (1)
- Dans l'abrutissement qui me tient lieu de grâce... (1)
- Les phénomènes (1)
- La veille d'une révolution (mondiale et spirituelle) (1)
- La révolution (1)
- Tout est là, tout a lieu, tout est phénomène (1)
- Parlez-moi du talent de ce mètre en platine, de ce miroir, de cette porte, et du ciel si vous voulez. (1)
- SURRÉALISME, n. m. Automatisme psychique pur par lequel on se propose d'exprimer, soit verbalement, soit par écrit, soit de toute autre manière, le fonctionnement réel de la pensée. Dictée de la pensée, en l'absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale. ENCYCL. Philos. Le surréalisme repose sur la croyance à la réalité supérieure de certaines formes d'associations négligées jusqu'à lui, à la toute-puissance du rêve, au jeu désintéressé de la pensée. Il tend à ruiner définitivement tous les autres mécanismes psychiques et à se substituer à eux dans la résolution des principaux problèmes de la vie. (1)
- Laisse-toi conduire, les événements ne souffrent pas que tu les diffères (1)
- La facilité de tout est inappréciable. (1)
- Quelle raison, je le demande, raison tellement plus large que l'autre, confère au rêve cette allure naturelle, me fait accueillir sans réserve une foule d'épisodes dont l'étrangeté à l'heure où j'écris me foudroierait ? Et pourtant j'en puis croire mes yeux, mes oreilles ; ce beau jour est venu, cette bête a parlé. (1)
- L'esprit de l'homme qui rêve se satisfait pleinement de ce qui lui arrive. L'angoissante question de la possibilité ne se pose plus. Tue, vole plus vite, aime tant qu'il te plaira. Et si tu meurs, n'es-tu pas certain de te réveiller d'entre les morts ? (1)
- Le rêve ne peut-il être appliqué, lui aussi, à la résolution des questions fondamentales de la vie ? (1)
- La seule imagination me rend compte de ce qui peut être (1)
- Il me paraît que tout acte porte en lui-même sa justification, du moins pour qui a été capable de le commettre, qu'il est doué d'un pouvoir rayonnant que la moindre glose est de nature à affaiblir (1)
- L'expérience même s'est vu assigner des limites. Elle tourne dans une cage d'où il est de plus en plus difficile de la faire sortir. Elle s'appuie, elle aussi, sur l'utilité immédiate, et elle est gardée par le bon sens. Sous couleur de civilisation, sous prétexte de progrès, on est parvenu à bannir de l'esprit tout ce qui se peut taxer à tort ou à raison de superstition, de chimère, à proscrire tout mode de recherche de la vérité qui n'est pas conforme à l'usage. (1)
- De l'instant où il sera soumis à un examen méthodique, où, par des moyens à déterminer, on parviendra à nous rendre compte du rêve dans son intégrité (et cela suppose une discipline de la mémoire qui porte sur des générations ; commençons tout de même par enregistrer les faits saillants), où sa courbe se développera avec une régularité et une ampleur sans pareilles, on peut espérer que les mystères qui n'en sont pas feront place au grand Mystère. Je crois à la résolution future de ces deux états, en apparence si contradictoires, que sont le rêve et la réalité, en une sorte de réalité absolue, de surréalité, si l'on peut ainsi dire. C'est à sa conquête que je vais, certain de n'y pas parvenir mais trop insoucieux de ma mort pour ne pas supputer un peu les joies d'une telle possession. (1)
- On raconte que chaque jour, au moment de s'endormir, Saint-Pol-Roux faisait naguère placer, sur la porte de son manoir de Camaret, un écriteau sur lequel on pouvait lire : LE POÈTE TRAVAILLE. (1)


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