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- Jean Petitot-Cocorda : "Le vitalisme s'appuie sur l'ensemble impressionnanat des faits de régulation et de finalité qui couvrent la presque totalité des activités vitales." (1)
- Les humains peuvent démultiplier de façon importante leur potentiel d'aperception grâce à leur composition, leur agencement, avec des onjets techniques. En s'ageançant avec l'acticité humaine, l'objet technique crée de nouvelles dimensions (1)
- La dynamique sociale fonctionne à coups d'étiquettes et de classifications : nous nommons, et de fait percevons, ce qu'une véritable normalisation du regard nous "permet" de voir socialement. (1)
- Le besoin de replacer les mécanismes conscients à leur véritable place. Quand je suis en train d'étudier, de jouer de la musique, de faire du sport, je peux être "conscients" de mes actes, mais dans tous les cas, ce ne sont pas là des activités qui dépendent, ou encore moins, surgissent de la conscience. (1)
- L'autre de la conscience n'est donc pas une instance irrationnelle quelconque, mais une expérience perceptive plus large, plus liée aux pratiques qu'à l'abstraction. (1)
- Soit on accepte l'impuissance avec regret, en épousant la figure de la belle âme et de la conscience malheureuse, soit on décide d'investir toute son énergie dans sa vie personnelle, perçue comme une entreprise (1)
- Augmenter notre capacité d'agir par l'approfondissement de la connaissance des dispositifs réels à l'oeuvre dans chaque paysage. (1)
- La conscience éblouit et finit par saturer les autres voies de connaissance et d'information qui proviennent du paysage et de l'organisme même. Etre trop centré sur l'activité de la conscience, c'est être très limité dans sa capacité d'agir et de connaître, au sens d'une connaissance qui s'enracine dans la perception. Le problème de la conscience est donc celui de la croyance que nos cultures lui vouent en tant que centre de nos êtres et garante de la pensée. (1)
- La promesse que l'homme s'était faite à lui-même d'exister en dehors et au dessus de toute détermination s'est révélée n'être qu'une chimère - et une chimère à maints égards très dangereuse (1)
- Pour comprendre l'agir, il faut le concevoir sous le mode de mécanismes d'émergences issus d'interactions multiples dans le soubassement. (1)
- Les désirs (plutôt que la volonté) fonctionnent sur un questionnement au sujet des situations concrètes. Le désir s'ouvre sur des possibilités infinies. (1)
- Suivant les idées de Spinoza, ce n'est pas nous qui avons des idées, des impulsions ou tendances, ce sont plutôt les idées et les tropismes qui nous traversent, qui existent à travers nous. (1)
- Il s'agit finalement d'aller vers une sorte de pacification, d'accepter, presque avec soulagement, les déterminations qui nous constituent. Les déterminations ne sont pas des contraintes mais des liens qui nous unissent aux paysages. Et c'est bien la connaissance des déterminations qui libère de nouveaux possibles, de nouveaux agirs. La vie, ainsi, n'est pas cette tristesse permanente dans laquelle chaque humain se déchire et déchire son environnement, en tentant de nier sa condition d'être comme un pli du paysage. Bien au contraire, c'est avec le paysage que nous pouvons répondre aux appels qui lui font écho dans notre intérieur. (1)
- Plus nous abandonnons notre point de vue individuel pour adopter celui du paysage, moins nous sommes piégés dans le vouloir de l'individu. (1)
- Qu'est-ce que le paysage désire à travers moi ? Qu'est-ce que les différentes situations désirent à travers moi ? (1)
- On n'arrête pas de trouver des possibilités techniques qui n'étaient pas envisagées dans la recherche initiale et qui produisent à leur tour des normes sociales. Quelque chose "prend la tangente", et les hommes se trouvent piégés par les techniques qu'ils ont créées. (1)
- La déconstruction des vouloirs aliénés qui nous enchaînent (1)
- L'aliénation (1)
- La philosophie de l'organisme (Miguel Benasayag) (1)
- Le déploiement des possibles endormis susceptibles de crée de nouvelles solidarités, de nouvelles dimensions de vie. La philosophie de l'organisme n'est pas une critique de la conscience depuis la position d'un déterminisme vitaliste, mais depuis des possibilités réelles qui la débordent largement, et avec lesquelles il s'agit de savoir renouer. (1)
- Les sens (1)
- Pour reprendre une image de Heidegger, il existe une aube du déploiement de la pensée qui ne connaît pas encore le concept. Nous dirions plutôt : où elle n'a pas encore produit le concept. La pensée préexiste au concept, mais quand celui-ci émerge de la combinatoire symbolique, les instances préconceptuelles de la pensée ne disparaissent pas pour autant. Elles cohabitent. Le concept relève de l'émergence d'un niveau supérieur de l'être à travers lequel il se regarde et se pense lui-même. Il n'est en aucun cas la condition d'existence de l'être ni de ses différents modes unifiés - situations, paysages. Nous nous situons donc dans une perspective très éloignée de ceux qui croient qu'il n'existerait qu'une distribution dichotomique entre un magma informe, d'une part, et les concepts pour lui donner existence, de l'autre. (1)
- Avant le concept (1)
- Une éducation et une culture centrées sur la méfiance envers les sens, et qui donnent une place privilégiée aux mécanismes de la conscience, finissent par produire aussi un refoulement de nos sensations, de nos connaissances (qui proviennent, nos pas de façon passive de nos sens, mais aussi de la réalité de notre corps, de notre propre vie), éblouis que nous sommes par les effets de la représentation symbolique (1)
- Le fiction moi séparé du monde (1)
- Développer les connaissances veut alors dire pour nous développer l'être même, la puissance des situations et des paysages. La connaissance est ainsi liée étroitement à l'expérience. Et la question devient : qu'est-ce que nous sommes capables, ou non, d'expérimenter ? Nous connaissons parce que nous expérimentons. (1)
- L'immédiat de la représentation sature nos voies perceptives, nous privant de toute autre source de connaissance. Comme on ne sait pas que connaître c'est expérimenter, l'immédiat finit par saturer tous les processus cognitifs. Entre une connaissance acquise par des voie svirtuelles, apparemment très riche, et une expérimentation concrète, on aura de plus en plus tendance à croire que c'est la première qui l'emporte en profondeur. Et c'est ainsi que l'abstraction prend la place du concret. (1)
- Tout se passe comme si, une fois établie la fiction de la séparation de l'homme d'avec son monde, son corps, son vécu, nous passions notre temps à nous demander comment faire pour vivre, connaître et agir "malgré" cette séparation (1)
- Le concept (1)
- Nous nous heurtons là à une vériabel lmite de notre temps, à savoir notre difficulté à connaître sans la promesse que cette connaissance nous donnera la maîtrise des objets connus. A quoi bon connaître, si c'est là un simple "gai savoir" ? (1)
- Il est toujours possible d'introduire dans une société des pratiques minoritaires autogestionnaires, comme forme de résistance et de création (1)
- Nous ne pouvons prétendre à une maîtrise volontariste du monde (1)
- Une critique du rôle central de la conscience, ainsi que du désir de maîtrise qui l'accompagne (1)
- L'économisme (1)
- Le néo-libéralisme (1)
- Presque personne ne connaît l'utilité de l'inutile (1)
- Les savoirs "inutiles" sont fondamentaux pour l'existence mê me des humains. Est inutile l'amour, sont inutiles la pensée, la recherche, le rocher que pousse Sisyphe, l'Ithaque où Ulysse n'arrivera peut-être jamais. Bref, l'étoffe même du phénomène humain entre à 90% dans la catégorie "inutilité" (1)
- L'utilitarisme, justification du pouvoir néolibéral actuel et de l'économisme comme seule lecture possible de la société, constitue très clairement un barrage qui empêche le déploiement de l'être. De ce point de vue, il y a bien une destruction de l'être à travers celle de ses modes d'existence. (1)
- Le faisceau de déterminations dont nous sommes l'émergeance (1)
- Dans le sens dominant que lui a donné la culture occidentale, penser équivaut à trouver des solutions à des problèmes ; sinon l'on serait dans une position dilettante. L'homme moderne est un homme qui résout des problèmes et qui pense l'ensemble de sa vie et l'histoire sociale en termes de solutions. (1)
- L'époque et le point de vue du paysage impliquent quant à eux un rapport de fragilité avec le réel un rapport ni de dominé (sacré) ni de dominateur (homme) (1)
- La société de l'individu conçoit la question du lien comme relevant d'un extérieur optionnel aux individus (1)
- Nous sommes en permanence happés par l'immédiat, par l'urgence, qui est à la fois un dispositif et une idéologie. (1)
- Dégager une partie de notre puissance pour résister et créer, pour développer la vie. (1)
- L'opérateur d'agir : le paysage (1)
- Les prophètes du nihilisme, aujourd'hui recyclés dans leurs habits postmodernes, ont l'air tellement sérieux quand ils nous annoncent que nous nous sommes trompés, que tout "isme" est fascisme, que toute certitude est dangereuse, que tout est polysémique... Que consensus et molesse, associés au néolibéralisme et à la loi du marché, sont les nouveaux noms de l'éthique... C'est au nom du rien, du nihil, que ces nouveaux maîtres menseurs, au nom de la démocratie, justifient le néocolonialisme. C'est tellement chic le nihilisme ! Cela se marie si bien avec le sommelier et le dîner en ville qu'on ne peut éviter de se sentir très plouc chaque fois que l'on s'apprête à lutter pour la justice, qu'on éprouve la certitude d'une asymétrie radicale dans la situation qu'on vit. Il n'y a pas de vérité, pérorent les poules de luxe de salons, mais la bétise ayant ses limites, on doit comprendre qu'il y a là l'énoncé d'une vérité : le nihilisme et le relativisme culturel constituent la pire des ontologies sclérosées, la pire des métaphysiques. (1)
- Entrer en amitié avec le processus, voilà ce qu'il s'agit d'atteindre. (1)
- Il s'agit, dans une joyeuse pratique de résistance et construction, d'assumer les processus de nos vies, au delà de la dichotomie disciplinaire espoir/désespoir. (1)
- Nous ne sommes pas une institution bancaire : on n'a pas le droit de nous demander si nos investissements seront ou non "rentables". C'est dans la lutte ekke-même, dans le chemin que l'objectif se déploie en permanence. (1)
- En réalité, ce qui fonde l'humanisme et pose problème, c'est la séparation entre l'homme et ce qui n'est pas l'homme, son tout autre, ce sur quoi il a tous les droits, ce qu'il peut donc utiliser en vue de ses fins "humanistes". C'est ce qui explique pourquoi l'humanisme s'articule si bien avec l'utilitarisme et avec son "tout est possible", au nom de la toute puissance de l'être humain. (1)
- La connaissance de nos situations, avec les dispositifs matériels qui les accompagnent, rend consubstantiels la connaissance et l'agir : assumer une situation, c'est travailler dans cette situation, sans chercher des principes qui finissent par nous détourner du réel. Le déploiement de la puissance d'une situation est ce qui, du paysage, fait appel en nous... (1)
- On est pas mal tout là-haut (1)
- On goûte aux étoiles tout là-haut (1)
- On oublie nos certitudes (1)
- L'objectif est le chemin lui-même (1)
- Renouer avec nos paysages nous permettra peut-être de sortir du pur pâtir pour aller vers un agir concret et réel. (1)
- Eprouver de nouveaux possibles (1)
- La construction au Nord de forteresses fondées sur l'oppression du Sud (1)
- La pensée de la politique et de la société a en effet très tôt pris la forme de la croyance en une voie royale : la prise du pouvoir central, clé magique préalable et nécessaire et nécessaire pour la résolution de tout problème. Ce faisant, les forces progressiste se sont condamné à un mode de traitement des problèmes piégé dans des questions d'intersubjectivité et de conflits d'intérêts. Elles ont confondu l'assomption des processus objectifs - sociaux, politiques, économiques, écologique, d'éducation, de santé etc, - avec une problématique simpliste, celle des moyens d'arriver au pouvoir. (1)
- Il est vrai que tiraillés par notre envie de perdurer dans notre soi, nous avons souvent du mal à nous laisser vivre, dans le sens plus profond du mot, c'est à dire déployer les multiplicités qui peuvent mettre en danger notre identité. Voilà pourquoi cete joie dont nous parlons existe qouvent chez nous sous la forme paradoxale d'une joie mélancolique : mélancolie du passeur, du voyageur, qui éprouve qu'il n'est jamais autant lui-même qu'au moment où il s'oublie, jusqu'au point de se mettre en danger. (1)
- Un mode d'éprouver la joie de notre être en tant qu'être lié... Et, à ce moment là, nous savons que l'heure est arrivée de dire à notre petit soi frelaté, aliéné et stupide de se pousser, s'agissant maintenant, tout bêtement, de la vie. (1)
- Le "devenir sans avenir" peut être l'une des formules illustrant cette possibilité pour tout un chacun de renouer avec les processus qui l'enracinent dans une époque, dans un paysage. (1)
- C'est lorsque nous prenons le pli pour un tout autonome, coupé du paysage, que nous commençons à penser en terme d'avenir (que m'est-il promis à moi ?) et que cette croyance nous sépare de notre existence réelle. (1)
- Le devenir sans avenir, si nous l'assumons, nous situe dans un mode d'existence où l'éphémère est la loi (1)
- L'existence, alors, ne serait concevable que comme cette tendance à persévérer dans les processus qui la constituent... Notre question est alors : comment pouvons-nous adapter nos pratiques et nos théories aux agencements réels des processus qui nous fondent ? (1)
- C'est là une des apparences phénoménales du mécanisme sous-jacent de la pensée de la solution : la dénégation des processus réels de la vie, agencés et compréhensibles seulement dans les situations et paysages que nous habitons. La solution va imposer un but abstrait qui tendra à donner une lecture unidimensionnelle de ces multiples réels. (1)
- Le problème central de notre société, décliné sous des formes très différentes, réside dans notre incapacité à libérer les processus de la vie, enfermés dans des étiquetages beaucoup trop rigides. Il réside dans le nécessaire abandon de la solution : la seule solution possible est... d'accepter l'absence de toute solution définitive. (1)
- La pensée en termes de solution produit une véritable idéologie. Nos sociétés proposent une série d'images identificatoires du bonheur. Cette série très restreinte prétend être la solution à une myriade de problèmes non finis, que nous pouvons rencontrer au cours de notre vie. (1)
- On constate la tendance vers une uniformisation des images identificatoires du bonheur (nous regardons tous les mêmes images de télévision) (1)
- Le devenir (1)
- Toute recherche du non-éphémère, tout forçage de ce qui, parce qu'irréversible, renvoie à une éternité hors du temps place au centre de son dispositif le contraire de ce qu'il désirait au départ (1)
- Le but n'est jamais représenté à notre conscience de manière complète avant le mouvement ; et au fur et à mesure que nous corrigeons notre mouvement en fonction des situations, nous découvrons quelle était effectivement l'intention de notre action. Nous ne pouvons donc penser objectivement en terme de solution. (1)
- Dans nos sociétés, nous somme toujours en train de sacrifier des pans entiers de l'existence au nom d'une solution, parce que nous interprêtons le tout au nom d'une problématique unidimensionnelle utilitariste, en nous condamnant à une séparation des processus qui nous constituent, ce qui nous conduit à l'impuissance. (1)
- Le moi n'est pas simplement haïssable. Il est l'ennemi qui détruit tout, parce qu'il a commencé par nous détruire. (1)
- Plus je pense par et pour la partie congrue, c'est à dire moi en tant qu'individu, moins j'existe. Il est paradoxal qu'on en soit arrivé à identifier le point de liberté maximal à ce mécanisme : l'ensemble très vaste, voire infini par ses liens, qu'est chaque être humain a été réduit au sous-ensemble aliéné de son identité individuelle. Il ne s'agit donc jamais de libérer l'individu du pouvoir, mais de nous libérer nous-mêmes du pouvoir de l'individu. (1)
- Connaître la nécessité du paysage, c'est comprendre des processus dans lesquels je suis inclus, comprendre quelsue chose de ce par quoi je suis traversé, et, en définitive m'oublier en tant que fausse unité. Les hommes ne sont que les plis du paysage, et il faut voir les nécessités du paysage comme pure intériorité, non pas comme quelque chose qu'on trouverait en regardant loin au dehors. (1)
- Le problème principal de notre époque réside dans cette incapacité, tournant le dos à la vie, d'entrer en amitié sincère avec ce qui est éphémère. On considère comme superflu ou dilettante tout agir qui déploie la multiplicité des possibles, qui se donne comme onjectif de désenclaver les processus des impasses où notre époque les a conduits. Nous n'avons pourtant pas d'autres solutions à trouver que celles qui, sans rien promettre à personne, nous réengage dans des processus de vie et d'existence : croire un peu moins à nous-mêmes, à nos identités sclérosées, élargir notre champ d'aperception du monde et de nous-mêmes, comprendre que ce qui arrive, ça nous arrive, repousser les limites de la séparation sur laquelle se fonde notre société... Penser et agir en termes de paysage n'apporte nulle solution, mais de acquis fondamentaux, qui nous réengagent du côté de la vie. (1)
- A la destruction qu'opère le modèle utilitariste mondialisé, seule s'oppose la vie sous toutes ses formes... Dans chaque lutte, dans chaque résistance, ce qui s'exprime est la vie, tout projet, tout cheminement d'émancipation étant ontologiquement et éthiquement juste parce qu'il déploie la puissance et la joie dans des modes singuliers. (1)
- Voilà le coeur et le sens même de l'engagement : assumer, dans chaque situation éphémère, ce qui va du côté du déploiement de la puissance, de la joie, du partage, dans par et pour chaque situation (1)
- D'après le mythe du progrès, l'homme devait être son propre messie : il devait accomplir la promesse qu'il s'était faite à lui-même d'arriver à une maîtrise totale du réel. Et la politique, bien plus que les sciences ou les arts, apparaissait comme la voie d'accomplissement cardinale de cette promesse. (1)
- L'engagement. (1)
- When you're by yourself | And there's no one else | You just have yourself | And you tell yourself | Just to hold on (1)
- There's a feeling I get when I look to the West | And my spirit is crying for leaving (1)
- Murmurer (to whisper) dans la chanson en anglais (1)
- It's gonna be alright (1)
- L'éternité nous appartient | Chaque seconde la contient (1)
- L'anthropologue brésilien Eduardo Viveiros de Castro estime qu'« en forgeant le concept fondamental de "pensée sauvage", [Lévi-Strauss] a montré que science, philosophie, art, religion, mythologie, magie, etc. se déploient en réalité sur un même axe, celui de la connaissance humaine » (1)
- Le concept de pensée sauvage (Lévi-Strauss) (1)
- Ami ne désespère pas (1)
- Catch me as I fall (1)
- Say you're here and it's all over now (1)
- Ombre parmi les ombres (1)
- Je me perds dans le nombre (1)
- Les nombres (1)
- I'm the boy that can enjoy invisibility (1)
- Don't give in to the pain (1)
- Speaking to the atmosphere (1)
- Atmosphere (1)
- I know I can stop the pain if I will it all away (1)
- La classification (1)
- En nous présentant des systèmes de classification totémique dont l'existence est incontestablement archaïque, ce livre nous prouve que le désir de classification du vivant et plus généralement de tout ce qui constitue l'univers des hommes (jusqu'aux concepts), ne correspond pas à une capacité des civilisations antiques (par exemple les systèmes de mémorisation de Cicéron), ou même modernes (systématique de Carl von Linné, combinatoire de Gottfried Wilhelm Leibniz, ou encore travaux de Francis Bacon), mais qu'il existe sans aucun doute chez les peuples de tous continents des systèmes évolués de classification et de combinaisons. (1)
- Le problème commence lorsque l'on accorde une trop grande importance à ces pensées, lorsqu'on les croit et surtout quand on en vient à les substituer au réel. Ce qui arrive en permanence chez tous les humains. (1)
- En état de fringale | Haut les coeurs | V'là la vie (1)
- Dans le Grand Véhicule | Buriné par les chevaux | En lotus sous la lune | Revêtu du grand manteau | Un Bouddha en boxeur | J'avançais seul sous la pluie (1)
- Tout est à comprendre (1)
- La soif de savoir et de connaissance (1)
- Ne pas vouloir tout savoir (1)
- Tout savoir (1)
- Plus important que le savoir (1)
- Je construirai un silence plus grand que ceux des cathédrales (1)
- On inventera des couleurs | Et elle oubliera ses larmes (1)
- I'll nurse you (1)
- Destroy all that is holding you down, ooh-ooh | And then I'll nurse you (1)
- Dis-moi si le printemps s'abreuve de tes gestes (1)
- You don't have to explain. I understand (1)
- Come to me. I'll take care of you. Protect you (1)
- It hurts to feel (1)
- It hurts to hold on (1)
- Turn my head | Off | Forever| Turn it off | Forever | Off forever | Turn it off forever (1)
- Masque parmi les masques (1)
- Les masques (1)
- J'inventerais des edens (1)
- Le paradis (1)
- Si nos voix s'unissaient | Quel hiver y résisterait ? (1)
- Je mettrais des couleurs aux peines (1)
- Faut que les mecs se mettent en tête que ça pète : Fuck la Jet-Set (1)
- Et puis à Mach3 je vole, à 15 mètres du sol | J'ai des missiles Airsol au cas où je vois des parasols (1)
- Mon altimètre me prouve que je descends à très vive allure | Je traverse les nuages et ils sont doux comme ta chevelure (1)
- Nageur de combat je me dois de détruire tous leurs sous-marins de poche (1)
- Le mouvement colibri (1)
- Hold on! It's never enough (1)
- Penser depuis le paysage nous permet de nous placer dans des dimensions impersonnelles non piégées par l'immédiat du vécu des individus (1)
- Dans le paysage, nous trouvons le noyau rationnel à partir duquel l'homme peut tenter de penser, comprendre et agir dans la vie. Le point de vue du paysage nous sort de l'impuissance et du pâtir propre à notre époque obscure. Il est cet "universel concret" qui nous permet, pour paraphraser un slogan bien connu, d'"agir local et penser local". En effet, s'éloigner du local, et donc de nos paysages, n'est pas le geste qui nous permettrait d'accéder à une vision plus large, plus universelle. Bien aucontraire, c'est là que se trouve le dérapage vers l'abstraction. Car le seul "accès" à l'universel est celui qui nous est donné dans chaque paysage, celui qui est niché dans chaque situation, comme un universel concret. (1)
- Il s'agit, dans l'engagement, de renouer tout simplement avec la vie en tant que processus. Il faut donc penser nos engagements et nos pratiques en terme de réconciliation avec le devenir, et non pas en tant que promesses d'avenir. Cela implique de renoncer à chercher une "solution" à la vie. S'engager, ce n'est pas s'efforcer de résoudre les choses une fois pour toute, mais soutenir et développer la tension intérieure à la vie. (1)
- Quand le paysage cesse d'être décor, nous cessons d'être des feuilles dans la tempête (1)
- Comment agir, comment les hommes peuvent-ils trouver ou construire des voies qui leur permettent de sortir du pur pâtir, du pur spectacle de leurs vies, pour aller vers un agir, une construction ? (1)
- Don't give up the game until your heart stops beating (1)
- Don't give up (1)
- Le "paysage" n'est pas pour nous un décor - par exemple une montagne, un arbre ou une vache -, mais cette tentative d'élargir notre propre champ perceptif pour comprendre ce qui est à l'oeuvre dans les différents processus concrets. Le paysage est la possibilité de penser, de percevoir et d'agir, depuis une focale plus concrère, plus réelle, qui ne soit pas perdue dans le zoom de la vie individuelle, ni non plus dans les grandes, abstraites et inabordables considérations trop générales qui n'arrivent pas à devenir monde. (1)
- J'ouvre la porte du garage | Me mets aux commandes du mirage { Décollage, demi-tour, dommage, j'explose tout dans les parages (1)
- Seul, sous son saule pleureur, Solaar pleure (1)
- Tout changer (1)
- Il faudrait tout recommencer (1)
- L'osmose serait de changer les choses De voir en anamorphose jusqu'à la métamorphose D'écouter le Choeur des Anges comme les voix d'outre-tombe Parce que j'entends leur cri du coeur qui nous dit : Sauvez le Monde ! (1)
- Imagine le monde, la modernité | Avec de la volonté on peut tout changer (1)
- J'aurais aimé porter la lampe, la torche et le flambeau Aimé changer le monde par le poids des mots Apporter l'étincelle au plus grand nombre Mais quoi qu'je fasse, je n'pourrai pas sauver le monde (1)
- L'amertume (1)
- Depuis, quand le soleil est sombre Nombre d'entre nous résistent ou bien succombent (1)
- J'ai lutté contre vents et marées Résisté aux sirènes qui voulaient me noyer Naufragé isolé seul et face au monde Malgré tous ces efforts, je ne pourrai pas sauver le monde (1)
- - Pourquoi tu peux pas sauver le monde ? - Parce que j'suis pas Superman, et qu'ça va super mal Et que Barbie et Ken sont devenus super mad (1)
- J'aimerais qu'tu fasses quelque chose Je te l'demande, promets - moi Si tu le peux, s'il te plait Si vous le pouvez : sauvez le monde (1)
- Comme un oiseau sans aile. La joie est vers le ciel, l'échec, la vie est belle. (1)
- La vie est belle (1)
- Le monde est docile (1)
- La perplexité (1)
- Mais le monde est complexe | J'ai le typex | Comme tout le monde je reste perplexe (1)
- Un baby boom de Bébé Doc face à des bébés phoques (1)
- Savoir ce que l'on veut (1)
- Ils font du profit dans (dans) un monde de oufs Et te bouffent (et te bouffent) car l'aigle ne chasse pas les mouches (1)
- J'vais à la fac de la façon la plus lente | Mais j'aurais dû sécher pour éviter l'amiante (1)
- Langue anglaise (0)


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