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- Transpercer, voilà le secret ! (1)
- Ce Présent n'est autre que le moment favorable tel quel (1)
- L'interpénétration plénière de tous les sens (1)
- Les sens se répondent les uns les autres (1)
- La clé qui ouvre la porte de la connaissance, connaissance de la parole secrète, c'est à dire la connaissance du "secret sans voile", doit être l'Eveil à la résonance (1)
- Triturer les études durant des millions et des milliards d'éons (1)
- Lorsqu'on reste muet, sans être pour autant interdit, c'est la conscience karmique qui peut surgir tout d'un coup, atteignant sa cible (1)
- On écrit parce qu'on ne comprend rien sans écrire (1)
- Le langage, comme la perception, est structuré sous le mode du "comme "ou du "comme si" (1)
- Il y a une analogie entre la mystique du non-moi selon la Voie bouddhique et la mystique connue en Occident sous le terme de "sentiment océanique". Celui-ci désigne, nous semble-t-il, un ravissement, un sentiment d'être uni, totalement et parfaitement, à tous les existants de l'univers, sentiment qui vient à envahir tout d'un coup l'être d'une personne, le plus souvcent spontanément et tout à fait gratuitement (1)
- La méditation assise n'est rien d'autre que la pratique du non-faire (1)
- Muga muchû est une locution japonaise qui veut dire littéralement : "le non-moi au milieu du rêve". Il s'agit d'être absorbé, captivé et transporté dans le total oubli de soi par tout ce qui ravit nos coeurs, tel le jeu chez les enfants, l'art, le travil, les sentiments amoureux, etc. (1)
- Chacun des existants doit être à la fois émetteur et auditeur du grondement du dragon, de ce son inorganique qui remonte depûis le fondement de tous les existants et de tout l'univers... (1)
- C'est à partir de la racine que les feuillages se développent, et voilà ceux qu'on appelle "éveillés et patriarches". La souche et les extrémités doivent toutes retourner à cet enseignement essentiel, et cela n'est autre que l'étude (1)
- Le shôbôgenzô est lui-même conçu comme une immense parabole, parabole de la résonance (1)
- Que c'est subtil et merveilleux ! Les choses s'interpénètrent les unes les autres sans s'interpénétrer (1)
- Obtenir (1)
- Invisibilité du visible et visibilité de l'invisible (1)
- L'oeil qui voit sans voir et qui entends ce qui n'est pas perceptible à nos oreilles de chair : la résonance de l'univers (1)
- Il faut étudier l'enseignement essentiel du nombre : "faire avec la multitude" (1)
- Lorsqu'on observe la montagne en plein jour, celle-ci cache son secret profond au sein même de sa visibilité. (1)
- Les kôans (1)
- La méditation assise, ce point nul de la "réflexion" centré sur le non-faire (1)
- Même s'il y a des centaines et des milliers de paroles à obtenir, on s'exprime en triturant le muet (1)
- Sortir de soi moyennant le kôan (1)
- La multitude (1)
- Examinez et analysez le moment où il ne fait ni jour ni nuit (1)
- Il faut étudier le muet et le connaître à fond par la pratique (1)
- Tant qu'elle ne sera pas exprimée par le langage sous forme adéquate, la pensée qu'on croit avoir dans le coeur et l'esprit ne serait qu'une chimère (1)
- Méditez à fond avec minutie le verbe "obtenir" (1)
- Ne haïssez pas le ne-pas-dire. Le ne-pas-dire est la vraie tête et la vraie queue de la parole obtenue (1)
- La Totalité dynamique, qui reflète son image en elle-même, comme la lune au milieu de l'eau (1)
- La vie est la Totalité dynamique qui se présente (1)
- Tous les existants doivent être structurés dès l'origine sous le mode du "comme" et il n'y aurait aucun existant hors de ce "comme" (1)
- Celui qui est toujours sans désir peut voir le mystère | Et le mystère est lui-même la porte de toute manifestation (Tao Te King) (1)
- Exercez-vous à ne rien faire... | Lorsqu'une action est pure et désintéressée, | Tout s'arrange à la perfection (Tao Te King) (1)
- Savoir ce que Shakespeare pensait réellement (1)
- Savoir ce que l'on veut (1)
- Ne pas vouloir tout savoir (1)
- Le cinéma anglais (1)
- Les richesses de l'inattendu (1)
- Voyage en Inde (1)
- A la fin de l'histoire, tout finit toujours par s'arranger. (1)
- Le vieillissement (1)
- Tout savoir (1)
- Plus important que le savoir (1)
- Je construirai un silence plus grand que ceux des cathédrales (1)
- On inventera des couleurs | Et elle oubliera ses larmes (1)
- It hurts to feel (1)
- Dans le Grand Véhicule | Buriné par les chevaux | En lotus sous la lune | Revêtu du grand manteau | Un Bouddha en boxeur | J'avançais seul sous la pluie (1)
- En état de fringale | Haut les coeurs | V'là la vie (1)
- La soif de savoir et de connaissance (1)
- Tout est à comprendre (1)
- Le problème commence lorsque l'on accorde une trop grande importance à ces pensées, lorsqu'on les croit et surtout quand on en vient à les substituer au réel. Ce qui arrive en permanence chez tous les humains. (1)
- Le mariage arrangé en Inde (1)
- Les roses (1)
- Laissez les contraires et les idées opposées subsister en vous en même temps. Acceptez d'avoir à l'esprit ces pensées contradictoires sans qu'elles s'annulent les unes les autres. (1)
- Soyez un bon animal et déplacez vous librement sans vous soucier de ce que vous devriez être ou de ce que vous devriez faire. Imaginez par exemple, que vous êtes une loutre qui vit simplement sa "loutritude". Vous n'êtes ni bon ni mauvais, ni beau ni laid, ni vaillant ni paresseux... Vous êtes simplement une loutre qui se déplace librement sous l'eau ou sur la terre ferme, sereine, espiègle et sans préjugés. (1)
- Accomplir davantage en faisant moins d'efforts (1)
- Une fois que les dichotomies ou les contraires sont transcendés, ou à tout le moins perçus pour ce qu'ils sont, ils vont et viennent dans nos vies comme les marées. (1)
- Lao Tseu invite ses lecteurs à na pas porter de jugement au sein de la parfaite unité. Il invite notre sagesse à combiner ce que nous percevons comme des contraires et à vivre une vie unifiée. La perfection du Tao consiste à accepter la dualité apparente tout en voyant l'unité qui est l'ultime réalité. (1)
- Rien dans l'univers, ne se résume au nom qu'il porte. Malgré nos catégorisations sans fin, nous ne pouvons jamais décrire véritablement un animal, une fleur, un minéral ou un être humain. Nous devons baigner dans la magnificence de ce qui peut être vu et senti, au lieu de toujours chercher à mémoriser et à catégoriser les êtres. (1)
- Non-dit (1)
- Imaginez l'unité parfaite coexistant aux côtés de la dualité apparente, où les contraires ne sont que des jugements issus de l'esprit humain dans le monde des dix mille choses. (1)
- L'effort n'est qu'une partie du tout ; l'autre partie est le non-effort. Fusionnez ces dichotomies et vous obtenez une action aisée qui ne se soucie pas du résultat. (1)
- Parce qu'il n'a aucun objectif en tête, tout ce qu'il fait est couronné de succès (1)
- Asseyez-vous sans plus attendre | Ne faites rien | Reposez-vous | Car votre séparation d'avec Dieu | D'avec l'amour | Est la chose la plus difficile | En ce monde (Hafiz) (1)
- Infini et éternité (1)
- Se savoir esprit (1)
- Tenez-vous au centre (1)
- L'homme a été créé pour demeurer assis en silence Et trouver en lui la vérité (1)
- Le Tao continuera à prendre soin de vous, si vous lui faîtes confiance, tout en vous exerçant à ne rien faire. Vous n'avez rien à faire. Acceptez tout simplement que la perfection éternelle du Tao oeuvre à travers vous. (1)
- Vivre dans l'infini : cultiver la conscience de l'aspect infini de soi-même, tout est en ordre. (1)
- Avant le concept (1)
- Le concept (1)
- Le temps qu'il fait (1)
- La pluie de l'été porte l'oubli (1)
- L'été (1)
- La pluie de mon coeur, la pluie de l'oubli (1)
- "C'est peut-être ça qu'on cherche à travers la vie, rien que cela, le plus grand chagrin possible pour devenir soi-même avant de mourir.", Louis Ferdinand Céline (1)
- Pour lui plaire comme en passant (1)
- Est-ce qu'on sait ce qui se passe | C'est peut-être bien ce tantôt | Que l'on jettera le manteau | Dessus ma face (1)
- Il me reste si peu de temps | Pour aller au bout de moi-même (1)
- Et des chemins de pluie | Pour unique "bonsoir" (1)
- Et tu repars là-bas comme un rêve insensé | Qui toujours recommence et toujours se défait (1)
- I swear the whole world could feel my heartbeat (1)
- A l'époque contemporaine, la technique est une des dimensions fondamentales où se joue la transformation du monde humain par lui-même (1)
- Bien que nous vivions en démocratie, les processus sociotechniques font rarement l'objet de délibération collectives explicites, encore moins de décisions prises par l'ensemble des citoyens (1)
- Look at the sky, it's the color of love (1)
- There must have been an angel by my side (1)
- Ça s'appelle la vie ça marche au baratin | Ça se fout des chapeaux des bijoux des chagrins | Ça sort au syndicat au ciné et crois-moi | Ça sort et puis ça rentre fair' des môm's à l'État (1)
- Ca s'appelle la vie (1)
- Tu sors souvent la mer | Ennème-moi avec toi (1)
- Les nourritures terrestres (1)
- Renaissent ma soif et ma faim (1)
- Working hour is over (1)
- We can do anything that we want, anything that we feel like doing (1)
- La transe collective du public parisien de Depeche Mode (1)
- You can make it, I will be there (1)
- When you're falling, I will catch you (1)
- Le calme (1)
- On pourrait presque dire que l'eau est folle, à cause de cet hystérique besoin de n'obéir qu'à sa pesanteur, qui la possède comme une idée fixe. Certes, tout au monde connaît ce besoin, qui toujours et en tous lieux doit être satisfait. Cette armoire, par exemple, se montre fort têtue dans son désir d'adhérer au sol, et si elle se trouve un jour en équilibre instable, elle préférera s'abîmer plutôt que d'y contrevenir. Mais enfin, dans une certaine mesure, elle joue avec la pesanteur, elle la défie : elle ne s'effondre pas dans toutes ses parties, sa corniche, ses moulures ne s'y conforment pas. Il existe en elle une résistance au profit de sa personnalité et de sa forme. LIQUIDE est par définition ce qui préfère obéir à la pesanteur, plutôt que maintenir sa forme, ce qui refuse toute forme pour obéir à sa pesanteur. Et qui perd toute tenue à cause de cette idée fixe, de ce scrupule maladif. De ce vice, qui le rend rapide, précipité ou stagnant; amorphe ou féroce, amorphe et féroce, féroce térébrant, par exemple ; rusé, filtrant, contournant ; si bien que l'on peut faire de lui ce que l'on veut, et conduire l'eau dans des tuyaux pour la faire ensuite jaillir verticalement afin de jouir enfin de sa façon de s'abîmer en pluie : une véritable esclave. ... Cependant le soleil et la lune sont jaloux de cette influence exclusive, et ils essayent de s'exercer sur elle lorsqu'elle se trouve offrir la prise de grandes étendues, surtout si elle y est en état de moindre résistance, dispersée en flaques minces. Le soleil alors prélève un plus grand tribut. Il la force à un cyclisme perpétuel, il la traite comme un écureuil dans sa roue. (1)
- Il n'y a pas d'autre bonheur que la paix. (1)
- S'étourdir (1)
- We're flying high (1)
- And I don't even care (1)
- The urgency of now (1)
- Coupez ma gorge et les pivoines (1)
- As restless as we are (1)
- S"étourdir (1)
- Never want to come down (1)
- Everything's alright tonight (1)
- Les inventeurs, ingénieurs, scientifiques, entrepreneurs et investisseurs qui contribuent à édifier le technocosme où nous vivons désormais sont animés de véritables projets politiques concurrents, ils se réfèrent à des imaginaires antagonistes de la technique et des rapports sociaux. (1)
- Les trois temps de l'esprit : oralité, écriture, informatique (1)
- Les collecticiels [...] aident chaque interlocuteur à se repérer dans la structure logique de la discussion en cours en lui fournissant une représentation graphique du réseau d'arguments. Il permet également la liaison effective de chaque argument avec les documents auxquels il se réfère, qui le fondent peut-être et forment en tout cas le contexte de la discussion. Ce contexte, contrairement à une discussion orale, est ici totalement explicite et organisé... Les hypertextes d'aide à l'intelligence coopérative assurent la mise en scène du réseau des questions, des positions et des arguments... Le débat se ramène à la construction progressive d'un réseau argumentaire et documentaire toujours présent aux yeux de la communauté, maniable à tout instant... Une sorte de lente écriture collective désynchronisée, dédramatisée, éclatée, comme croissant d'elle-même suivant une multitude de lignes parallèles et pourtant toujours disponible, ordonnée, objectivée sur l'écran... Une fois les discussions analysées en dizaines de questions et de positions, on peut descendre encore plus bas dans la microstructure de la conversation. Le logiciel Euclia permet de représenter chaque argument comme un réseau de propositions étayées par des entités (preuve, analogies, hypothèses de départ) qui sont elles-mêmes des arguments, jusqu'à que l'on arrive aux hypothèses ou aux faits ultimes. Euclid propose à ses utilisateurs un certain nombre de schémas d'arguments pré-construits (comme l'argument par analogie, ou a fortiori, ou celui qui consiste à invalider les prémisses de l'adversaire). Il propose aussi des outils de visualisation de la structure logique du discours. (1)
- Une fois décolorées et aplaties les singulières et mouvantes entités du concret, lorsque la lave épaisse du devenir a été projetée sur les quelques états possibles d'un système simple et maniable, alors, notre conscience myope, débile, au lieu de se perdre dansles choses, peut enfin dominer, mais ce ne sera que sur ces ombres minuscules que sont les signes... La réduction de devenirs insaisissables à l'état de petits signes permanents et maniables, qui pourront donc être l'objet d'opérations inédites (1)
- Les signes (1)
- L'argumentation assistée par ordinateur, aide au raisonnement, à la conversation... (1)
- Il n'est d'usage sans torsion sémantique inventive, qu'elle soit minuscule ou capitale... Tout usage créatif, en découvrant de nouvelles possibilités, atteint le plan de la conception... Conception et usage sont en fait les dimensions complémentaires d'une même opération élémentaire de connexion, avec ses effets de réinterprétation, de construction de nouvelles significations. Dans le prolongement l'une de l'autre, la conception et l'usage contribuent alternativement à faire buissonner l'hypertexte sociotechnique. (1)
- Chaque grande innovation en informatique a ouvert la possibilité de nouveaux rapports entre hommes et ordinateurs. (1)
- On tombe amoureux d'une moto, d'une voiture ou d'une maison, on se passionne pour un ordinateur, un logiciel ou un langage de programmation... L'informatique n'intervient pas seulement sur l'écologie cognitive mais encore sur les processus de subjectivation individuels et collectifs... Il y a toute une dimension esthétique ou artistique de la conception des machines ou des logiciels, celle qui suscite l'engagement émotionnel, stimule le désir dexplorer de nouveaux territoires existentiels et cognitifs, branche l'ordinateur sur des mouvements culturels, sur des révoltes, des rêves. Les grands acteurs de l'histoire de l'informatique, comme Alan Turing, Douglas Engelbart ou Steve Jobs, ont perçu l'ordinateur autrement que comme un automate fonctionnel. Ils ont joué et vécu sur sa dimension subjective, merveilleuse et prophéétique (1)
- La construction de nouveaux agencements de sens (1)
- Les modes de connaissance inédits qui émergent de l'utilisation des nouvelles technologies intellectuelles à support informatique (1)
- L'écriture, en séparant les messages des situations où s'utilisent et se produisent les discours, suscite l'ambition théorique et les prétentions à l'universalité (1)
- Inventer de nouvelles structures discursives, découvrir des rhétiriques encore inconnues ..., du texte à géométrie variable... (1)
- Passage du concept de vérité à celui de pertinence. (1)
- Constituer une classe revient à tracer des limites. Or, aucune frontière ne va de soi. Il y a sans doute des grandients et des discontinuités dans le monde, mais le strict découpage d'un ensemble suppose la sélection d'un ou plusieurs critères pour séparer l'extérieur de l'intérieur. Le choix de ces critères est forcément conventionnel, historique, circonstanciel. Où commencent l'Allemagne, la couleur bleue, l'intelligence ? La plupart du temps, répétons le, les concepts et les classes d'équivalence permettant de reconnaître des analogies et de sidentités sont tracés par la culture. Mais des groupes ou même des individus peuvent, non sans difficulté, remettre en question une partie de ces délimitations conceptuelles. (1)
- La nouvelle écriture hypertextuelle ou multimédia sera certainement plus proche du montage d'un spectacle que de la rédaction classique, où l'auteur ne se souciait que de la cohérence d'un texte linéaire et statique. (1)
- Leibnitz, théoricien de la catalographie (1)
- L'écriture est une manière d'étendre indéfiniment la mémoire de travail biologique. (1)
- Les technologies intellectuelles tiennent lieu d'auxiliaires cognitifs des processus contrôlés, ceux qui mettent en jeu l'attention consciente et disposent de si peu de ressources dans le système cognitif humain. (1)
- La prose écrite n'est pas un simple moyen d'expression de la philosophie, des sciences, de l'histoire ou du droit. Elle les constitue. Or la prose, détrônée par les formes de représentation que porte l'informatique, pourrait acquérir bientôt la même saveur désuète de beauté gratuite et d'inutilité que la poésie aujourd'hui. Le déclin e la prose annoncerait celui du rapport au savoir qu'elle conditionne, et la connaissance rationnelle basculerait vers une figure anthropologique encore inconnue. (1)
- Des graphes dynamiques pour représenter des structures comceptuelles (1)
- L'hypertexte informatisé autorise tous les pliages imaginables : dix mille signes ou seulement cinquante repliés derrière un mot ou une icône, des emboitements compliqués et variables, adaptables par le lecteur. (1)
- Théodore Nelson et Xanadu (1)
- Quoique des milliers d'hypertextes aient été élaborés et consultés depuis les premières visions de Vannevar Bush et Theodore Nelson, aucun d'eux n'a pour l'instant l'ampleur quasi cosmique imaginée par ces pionniers, et cela pour trois raisons. Tout d'abord, sur un plan strictement informatique, on ne sait pas encore programmer des bases de données au delà d'un certain ordre de grandeur. Les algorithmes efficaces en deça d'un certain seuil pour gérer une grande quantité d'informations se révèlent impuissants à traiter les gigantesques masses de données impliquées par des projetc comme ceux de Xanadu ou de Memex. Deuxièmement, l'indexation, la numérisation et le formatage uniforme de l'information aujourd'hui dispersée sur une foule de supports différents supposent la mise en oeuvre de moyens matériels perfectionnés, la réunion de nombreuses compétences et surtout beaucoup de temps ; c'est dire qu'elle serait extrêmement coûteuse. Enfin, et ce n'est pas la moindre des difficultés, la constitution d'hypertextes géants suppose un travail minutieux d'organisation, de découpage, de mise en scène, d'accompagnement et d'orientation de l'utilisateur, et cela en fonction de publics très divers. Or qui, en 1990, possède les compétences nécessaires au plan de la conception d'hypertextes à vocation universelle puisque, dans le domaine du multimédia interactif tout, ou presque, reste à inventer ? (1)
- Techniquement, un hypertexte est un ensemble de noeuds connectés par des liens. Les noeuds peuvent être des mots, des pages, des images, des graphiques ou parties de graphiques, des séquences sonores, des documents complexes qui peuvent être des hypertextes eux-mêmes. Les items d'information ne sont pas reliés linéairement, comme sur une corde à noeuds, mais chacun d'eux, ou la plupart, étendent leurs liens en étoile sur un mode réticulaire. Naviguer dans un hypertexte, c'est donc dessiner un parcours dans un réseau qui peut être aussi compliqué que possible. Car chaque noeud peut contenir à son tour tout un réseau. (1)
- Théodore Nelson et Xanadu : Au début des années soixante, les premiers systèmes militaires de téléinformatique venaient à peine d'être installés, les ordinateurs n'évoquaient pas encore les banques de données, encore moins le traitement de texte. C'est pourtant à cette époque que Théodore Nelson invente le terme d'hypertexte pour exprimer l'idée d'écriture/lecture non linéaire sur un système informatique. Depuis cette époque, Nelson poursuit le rêve d'un immense réseau accessible en temps réel contenant tous les trésors littéraires et scientifiques du monde, une sorte de Bibliothèque d'Alexandrie de l'univers contemporain. Des millions de personnes pourraient utiliser Xanadu pour écrire, s'interconnecter, interagir, commenter les textes, films et enregistrements sonores disponibles sur le réseau, annoter les commentaires etc. Ce qqu'on pourrait appeler le stade suprême de la messagerie prendrait en charge une bonne part des fonctions remplies aujourd'hui par l'édition et le journalisme classique, Xanadu entant qu'horizon idéal ou absolu de l'hypertexte, serait une sorte de matérialisation du dialogue incessant et multiple que l'humanité entretient avec elle-même et avec son passé. (1)
- Vannevar Bush et le Memex : L'idée de l'hypertexte a été annoncé pour la première fois par Vannevar Bush en 1945 dans un article désormais célèbre dont le titre était "As we may think". Bush était un mathématicien, un physicien réputé qui avait conçu, dans les années trente, une calculatrice analogique ultra-rapide, et qui avait joué un rôle important dans le financement de l'Eniac, la première calculatrice électronique numérique. A l'époque où l'article paraît, notre auteur se trouve à la tête de l'organisme chargé de coordonner l'effort de guerre des scientifiques américains pour le compte du Président Roosevelt. Pourquoi "As we may think" ? Selon Bush, la plupart des systèmes d'indexation et d'organisation des informations en usage dans la communauté scientifique sont artificiels. Chaque item n'y est classé que sous une seule rubrique et le rangement est purement hiérarchique (classes, sous-classes etc). Or, dit Vannevar Bush, l'esprit humain ne marche pas ainsi, il fonctionne par associations. Il saute d'une représentation à l'autre le long d'un réseau enchevêtré, trace des pistes bifurquantes, trame une toile infiniment plus compliquée que les banques de données d'aujourd'hui ou les systèmes d'information à fiches perforées de 1945. Bush reconnaît qu'on ne peut sans doute pas répliquer le processus réticulaire qui sous-tend l'exercice de l'intelligence. Il propose seulement de s'en inspirer. Il imagine donc un dispositif, dénommé Memex, pour mécaniser le rangement et la sélection par association à côté du principe de l'indexation classique. Il faut d'abord constituer un immense réservoir documentaire multimédia, comprenant aussi bien des images, des sons et des textes. Certains dispositifs périphériques faciliteraient l'intégration rapide de nouvelles informations, d'autres permettraient de transformer automatiquement la parole en texte écrit. La deuxième condition à remplir serait la miniaturisation de cette masse documentaire, et pour cela, Bush prévoit notamment l'utilisation du mircofilm et de la bande magnétique, que l'on venait de découvrir à l'époque. Tout devrait tenir dans un ou deux mètres cubes, l'équivalent du volume d'un meuble de bureau. On accéderait aux informations par l'intermédiaire d'un écran de télévision muni de haut-parleurs. En plus des accès classiques par indexation, une commande simple permettrait à l'heureux propriétaire d'un Memex de nouer des liens indépendants de toute classification hiérarchique entre une information quelconque et n'importe quelle autre. Une fois le lien établi, chaque fois qu'un item particulier serait visualisé, tous ceux qui lui ont été rattachés pourraient être instantanément rappelés, par simple pression d'un bouton. Bush nous peint l'utilisateur de son dispositif imaginaire traçant des pistes transversales et personnelles dans l'immense continent broussailleux du savoir. Ces liens que l'on n'appelle pas encore hypertextes, matérialisent dans la mémoire auxiliaire du scientifique qu'est le Memex une part capitale du processus même de la recherche et de l'élaboration de connaissances nouvelles. Bush imagine même une nouvelle profession, une sorte d'ingénierie des ponts et chaussées au pays des publications, dont la mission serait d'aménager des réseaux de communication au sein du corpus immense et toujours croissant des sons, des images et des textes enregistrés. (1)
- L'immense réseau associatif qui constitue notre univers mental est en métamorphose permanente (1)
- Le sens d'un mot n'est autre que l'écheveau scintillant de concepts et d'images qui luisent un instant autour de lui. (1)
- Principe de multiplicité et d'emboîtement des échelles : L'hypertexte s'organise sur un mode "fractal", c'est à dire que n'importe quel noeud ou n'importe quel lien, à l'analyse, peut lui-même se révéler composé de tout un réseau et ainsi de suite, indéfiniment, le long des degrés de l'échelle de précision (1)
- L'imprimerie, au moment où elle fut inventée, ouvrit un tout autre rapport au texte et à l'écriture que celui qui avait cours avec le manuscrit : possibilité de survol du contenu, d'accès non linéaire et sélectif au texte, de segmentation du savoir en modules... (1)
- L'imprimerie (1)
- On se perd beaucoup plus facilement dans un hypertexte que dans une encyclopédie... C'est comme si l'on explorait une grande carte sans jamais pouvoir la déplier, toujours par bouts minuscules, il faudrait alors que chaque petite parcelle de surface porte ses coordonnées ainsi qu'une carte miniature avec une zone en grisé indiquant l'emplacement de la parcelle ("Vous êtes ici"). Il s'invente aujourd'hui toute une interface de la navigation, faite d'une multitude de micro-dispositifs d'interface déformés, réemployés, détournés (1)
- On connaît depuis longtemps le rôle fondamental de l'implication personnelle de l'étudiant dans l'apprentissage. Plus activement une personne participe à l'acquisition d'un savoir, mieux elle intègre et retient ce qu'elle a appris. Or, le multimédia interactif, grâce à sa dimension réticulaire ou non-linéaire, favorise une attitude exploratoire voire ludique, face au matériau à assimiler. C'est donc un instrument bien adapté à une pédagogie active (1)
- [L'hypertexte] se replie et se déplie à volonté, change de forme, se multiplie, se découpe et se recolle autrement. Ce n'est pas seulement un réseau d emicro-textes, mais un grand méta-texte à géométrie variable, à tiroirs, à replis. Un paragraphe peut apparaître ou disparaître sous un mot, trois chapitres sous un mot du paragraphe, un petit essai sous un des mots de ce chapitres, et ainsi virtuellement sans fin, de double fond et double fond. (1)
- La quasi-immédiateté du passage d'un noeud à l'autre permet de généraliser et d'utiliser dans toute son étendue le principe de non-linéarité. Cela devient la norme, un nouveau système de l'écriture, une métamorphose de la lecture, baptisée navigation (1)
- Les "menus" montrent à tout instant à l'usager les opérations qu'il peut accomplir. (1)
- [Avec l'imprimerie], le livre devint maniable, quotidien, mobile, et disponible pour l'appropriation personnelle. (1)
- Le verbe to browse ("butiner", mais aussi "jeter un coup d'oeil") est employé en américain pour désigner la démarche curieuse de qui navigue dans un hypertexte. (1)
- Les liens du monde (1)
- A nourrir le calme tout là-haut (1)
- L'aliénation (1)
- Qu'est-ce que le paysage désire à travers moi ? Qu'est-ce que les différentes situations désirent à travers moi ? (1)
- Plus nous abandonnons notre point de vue individuel pour adopter celui du paysage, moins nous sommes piégés dans le vouloir de l'individu. (1)
- La déconstruction des vouloirs aliénés qui nous enchaînent (1)
- On n'arrête pas de trouver des possibilités techniques qui n'étaient pas envisagées dans la recherche initiale et qui produisent à leur tour des normes sociales. Quelque chose "prend la tangente", et les hommes se trouvent piégés par les techniques qu'ils ont créées. (1)
- La dynamique sociale fonctionne à coups d'étiquettes et de classifications : nous nommons, et de fait percevons, ce qu'une véritable normalisation du regard nous "permet" de voir socialement. (1)
- La promesse que l'homme s'était faite à lui-même d'exister en dehors et au dessus de toute détermination s'est révélée n'être qu'une chimère - et une chimère à maints égards très dangereuse (1)
- Pour comprendre l'agir, il faut le concevoir sous le mode de mécanismes d'émergences issus d'interactions multiples dans le soubassement. (1)
- Les désirs (plutôt que la volonté) fonctionnent sur un questionnement au sujet des situations concrètes. Le désir s'ouvre sur des possibilités infinies. (1)
- Suivant les idées de Spinoza, ce n'est pas nous qui avons des idées, des impulsions ou tendances, ce sont plutôt les idées et les tropismes qui nous traversent, qui existent à travers nous. (1)
- On constate la tendance vers une uniformisation des images identificatoires du bonheur (nous regardons tous les mêmes images de télévision) (1)
- C'est là une des apparences phénoménales du mécanisme sous-jacent de la pensée de la solution : la dénégation des processus réels de la vie, agencés et compréhensibles seulement dans les situations et paysages que nous habitons. La solution va imposer un but abstrait qui tendra à donner une lecture unidimensionnelle de ces multiples réels. (1)
- L'existence, alors, ne serait concevable que comme cette tendance à persévérer dans les processus qui la constituent... Notre question est alors : comment pouvons-nous adapter nos pratiques et nos théories aux agencements réels des processus qui nous fondent ? (1)
- La pensée en termes de solution produit une véritable idéologie. Nos sociétés proposent une série d'images identificatoires du bonheur. Cette série très restreinte prétend être la solution à une myriade de problèmes non finis, que nous pouvons rencontrer au cours de notre vie. (1)
- Le problème central de notre société, décliné sous des formes très différentes, réside dans notre incapacité à libérer les processus de la vie, enfermés dans des étiquetages beaucoup trop rigides. Il réside dans le nécessaire abandon de la solution : la seule solution possible est... d'accepter l'absence de toute solution définitive. (1)
- Il s'agit finalement d'aller vers une sorte de pacification, d'accepter, presque avec soulagement, les déterminations qui nous constituent. Les déterminations ne sont pas des contraintes mais des liens qui nous unissent aux paysages. Et c'est bien la connaissance des déterminations qui libère de nouveaux possibles, de nouveaux agirs. La vie, ainsi, n'est pas cette tristesse permanente dans laquelle chaque humain se déchire et déchire son environnement, en tentant de nier sa condition d'être comme un pli du paysage. Bien au contraire, c'est avec le paysage que nous pouvons répondre aux appels qui lui font écho dans notre intérieur. (1)
- Le faisceau de déterminations dont nous sommes l'émergeance (1)
- Dans le sens dominant que lui a donné la culture occidentale, penser équivaut à trouver des solutions à des problèmes ; sinon l'on serait dans une position dilettante. L'homme moderne est un homme qui résout des problèmes et qui pense l'ensemble de sa vie et l'histoire sociale en termes de solutions. (1)
- Les humains peuvent démultiplier de façon importante leur potentiel d'aperception grâce à leur composition, leur agencement, avec des onjets techniques. En s'ageançant avec l'acticité humaine, l'objet technique crée de nouvelles dimensions (1)
- Jean Petitot-Cocorda : "Le vitalisme s'appuie sur l'ensemble impressionnanat des faits de régulation et de finalité qui couvrent la presque totalité des activités vitales." (1)
- L'économisme (1)
- Il est toujours possible d'introduire dans une société des pratiques minoritaires autogestionnaires, comme forme de résistance et de création (1)
- Nous ne pouvons prétendre à une maîtrise volontariste du monde (1)
- Le néo-libéralisme (1)
- L'utilitarisme, justification du pouvoir néolibéral actuel et de l'économisme comme seule lecture possible de la société, constitue très clairement un barrage qui empêche le déploiement de l'être. De ce point de vue, il y a bien une destruction de l'être à travers celle de ses modes d'existence. (1)
- Nous nous heurtons là à une vériabel lmite de notre temps, à savoir notre difficulté à connaître sans la promesse que cette connaissance nous donnera la maîtrise des objets connus. A quoi bon connaître, si c'est là un simple "gai savoir" ? (1)
- Presque personne ne connaît l'utilité de l'inutile (1)
- Les savoirs "inutiles" sont fondamentaux pour l'existence mê me des humains. Est inutile l'amour, sont inutiles la pensée, la recherche, le rocher que pousse Sisyphe, l'Ithaque où Ulysse n'arrivera peut-être jamais. Bref, l'étoffe même du phénomène humain entre à 90% dans la catégorie "inutilité" (1)
- Une critique du rôle central de la conscience, ainsi que du désir de maîtrise qui l'accompagne (1)
- Le déploiement des possibles endormis susceptibles de crée de nouvelles solidarités, de nouvelles dimensions de vie. La philosophie de l'organisme n'est pas une critique de la conscience depuis la position d'un déterminisme vitaliste, mais depuis des possibilités réelles qui la débordent largement, et avec lesquelles il s'agit de savoir renouer. (1)
- L'autre de la conscience n'est donc pas une instance irrationnelle quelconque, mais une expérience perceptive plus large, plus liée aux pratiques qu'à l'abstraction. (1)
- Le besoin de replacer les mécanismes conscients à leur véritable place. Quand je suis en train d'étudier, de jouer de la musique, de faire du sport, je peux être "conscients" de mes actes, mais dans tous les cas, ce ne sont pas là des activités qui dépendent, ou encore moins, surgissent de la conscience. (1)
- Les effets et activités de la conscience sont tout à fait lacunaire et discontinus, et le processus de pensée ne ressemble en rien à une sorte de longue phrase qui se déroulerait dans la tête de celui qui pense. Nous pensons et gaissons, au quotidien, dans ce mélange permanent qui saute d'un registre à l'autre, de la conscience vers des combinatoires autonomes (jouer de la musique, etc.). Par exemple, de la pensée consciente d'un problème, nous sautons vers des images non linguistiquement traduisibles, et, souvent, nous obtenons la solution de façon non exprimable : nous trouvons, et ce n'est qu'ensuite que nous devons faire le travail de formalisation de la trouvaille. C'est donc par une vue de l'esprit que l'on finit par croire que nous ne pouvons pas agir en dehors et au-delà des représentations conscientes, car la réalité des processus des organismes humains est très éloignée de ce récit. (1)
- La conscience éblouit et finit par saturer les autres voies de connaissance et d'information qui proviennent du paysage et de l'organisme même. Etre trop centré sur l'activité de la conscience, c'est être très limité dans sa capacité d'agir et de connaître, au sens d'une connaissance qui s'enracine dans la perception. Le problème de la conscience est donc celui de la croyance que nos cultures lui vouent en tant que centre de nos êtres et garante de la pensée. (1)
- Augmenter notre capacité d'agir par l'approfondissement de la connaissance des dispositifs réels à l'oeuvre dans chaque paysage. (1)
- La philosophie de l'organisme (Miguel Benasayag) (1)
- Soit on accepte l'impuissance avec regret, en épousant la figure de la belle âme et de la conscience malheureuse, soit on décide d'investir toute son énergie dans sa vie personnelle, perçue comme une entreprise (1)
- Le "devenir sans avenir" peut être l'une des formules illustrant cette possibilité pour tout un chacun de renouer avec les processus qui l'enracinent dans une époque, dans un paysage. (1)
- C'est lorsque nous prenons le pli pour un tout autonome, coupé du paysage, que nous commençons à penser en terme d'avenir (que m'est-il promis à moi ?) et que cette croyance nous sépare de notre existence réelle. (1)
- La connaissance de nos situations, avec les dispositifs matériels qui les accompagnent, rend consubstantiels la connaissance et l'agir : assumer une situation, c'est travailler dans cette situation, sans chercher des principes qui finissent par nous détourner du réel. Le déploiement de la puissance d'une situation est ce qui, du paysage, fait appel en nous... (1)
- Eprouver de nouveaux possibles (1)
- La construction au Nord de forteresses fondées sur l'oppression du Sud (1)
- En réalité, ce qui fonde l'humanisme et pose problème, c'est la séparation entre l'homme et ce qui n'est pas l'homme, son tout autre, ce sur quoi il a tous les droits, ce qu'il peut donc utiliser en vue de ses fins "humanistes". C'est ce qui explique pourquoi l'humanisme s'articule si bien avec l'utilitarisme et avec son "tout est possible", au nom de la toute puissance de l'être humain. (1)
- Dégager une partie de notre puissance pour résister et créer, pour développer la vie. (1)
- L'époque et le point de vue du paysage impliquent quant à eux un rapport de fragilité avec le réel un rapport ni de dominé (sacré) ni de dominateur (homme) (1)
- La société de l'individu conçoit la question du lien comme relevant d'un extérieur optionnel aux individus (1)
- Nous sommes en permanence happés par l'immédiat, par l'urgence, qui est à la fois un dispositif et une idéologie. (1)
- La pensée de la politique et de la société a en effet très tôt pris la forme de la croyance en une voie royale : la prise du pouvoir central, clé magique préalable et nécessaire et nécessaire pour la résolution de tout problème. Ce faisant, les forces progressiste se sont condamné à un mode de traitement des problèmes piégé dans des questions d'intersubjectivité et de conflits d'intérêts. Elles ont confondu l'assomption des processus objectifs - sociaux, politiques, économiques, écologique, d'éducation, de santé etc, - avec une problématique simpliste, celle des moyens d'arriver au pouvoir. (1)


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