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- Errance libertaire (1)
- Guérir du moi (1)
- Questions/réponses (1)
- Prépare-toi à la mort prépare-toi bruissent les cerisiers en fleur (Issa) (1)
- Tu es riche ? J'ai tout Je ne me possède plus (1)
- Nuit sans fin - je pense à ce qui viendra dans dix mille ans (Shiki) (1)
- les ressources (1)
- L'étrangeté est toujours partageable (1)
- L'étrangeté (1)
- Profond plus profond encore dans les montagnes bleues (Santôka) (1)
- Dans la brume de printemps le vol blanc d'un insecte au nom inconnu (Yosa Buson) (1)
- La cloche se tait - les fleurs en écho parfument le soir ! (Matsuo Bashô) (1)
- La passion pour la France (1)
- Recommencer l'époque (1)
- Le monde est devenu un cerisier en fleurs (Ryôkan) (1)
- En secret le camélia devine la présence du prunier (Hayashibara Raisei) (1)
- Douceur de la brise dans le vert de mille collines un temple isolé (Masaoka Shiki) (1)
- Soir d"hirondelles - demain encore je n'aurai rien à faire (Kobayashi Issa) (1)
- Sans souci elle contemple la montagne la grenouille (Kobayashi Issa) (1)
- Ce "flou irisé de ressources" qu'évoque Claude Roy à propos du chinois. (1)
- Les territoires de sens (1)
- Le haiku comme une salutation, un hommage au moment présent (1)
- On compte accumulés au fil des siècles dans des almanach poétiques(saïjiki) quelques milliers d'expressions ou de mots-saison, à partir desquels les haikistes façonnent leurs poèmes. Ces recueils, ces glossaires répertorient scrupuleusement tous les mots exprimant l'essence - le "parfum" - de la saison et els classent selon plusieurs catégories évocatrices : les moments de la saison, les phénomènes du ciel, le paysage, les activités humaines, la faune et la flore. Volonté d'ordonnancement du monde, souci d'exactitude esthétique, qui apparaissent comme une constante spécifique, intime du génie japonais. (1)
- Exactitude esthétique (1)
- Les circonstances (1)
- L'importance que les japonais accordent aux circonstances, toujours uniques, jamais dues au seul hasard, mais bien à un lien prédestiné qui unit les êtres et les choses. (1)
- Une confiance illimitée dans l'inattendu (1)
- L'inattendu (1)
- Le haiku se développe d'ordinaire sur la toile de fond d'un mot-saison (kigo) (1)
- La plus extrême minutie apportée à la codification des instants du monde [devient] le gage d'une vraie liberté. (1)
- L'instant (1)
- Exprimer l'inexprimable (1)
- La pensée discursive (1)
- La sémantique (1)
- La graphie japonaise - alliant idéogrammes et syllabaire phonétique - favorise l'extrême densité du haiku. Là où l'écriture littéraire de l'Occident semble donner d'emblée un socle cartésien à la description de la réalité, la figure fulgurante de l'idéogramme se prête plus facilement à "l'expression de l'inexprimable", à la transmission d'un espace que ne saurait saisir la seule pensée discursive. En outre, la structure même de la langue favorise l'ambiguïté. Le japonais offre un vocabulaire des plus riches, à la fois flou et extrêmement nuancé. Il décline le monde avec autant de subtilité que le français - mais sur un mode plus énigmatique. Ici, un vocable recouvre souvent un éventail de notions que d'autres mots traversent. Incertaine, la frontière délimitant les territoires de sens dévoile tout un champ d'associations. Ambiguïté permanente qui déploie l'étendue de ses facettes dans le haiku, jusqu'à en faire parfois un véritable "langage crépusculaire", lequel n'est pas sans évoquer le sandhya-bhasa ("langue du paradoxe") chère au bouddhisme médiéval indien : les mots sont alors détournés de leur rôle en vue de dire un au-delà (ou un en-deça) d'eux-mêmes, de cerner une conscience globale antérieure à toute conceptualisation, y compris celle du langage. Au delà du clair de lune je laisse ma barque pour entrer dans le ciel (Koda Rohan) La grammaire particulière du haiku nourrit encore d'autres ambivalences. Ainsi, le "collage" de plusieurs idéogrammes - dont la fonction grammaticale reste "flottante" - ouvre la porte à plusieurs sens, révélant du même coup une palette d'interprétations. Les sens se chevauchent, se complètent, se démultiplient - trivial et spirituel s'entrecroisent. Le flou sémantique accroit l'exactitude poétique. Un seul et même mot, uta, désigne en japonais la poésie et le chant. Et c'est à voix haute, comme un chant, que le haiku se lit. (1)
- La grammaire (1)
- Une poésie fondée sur l'imprécision et l'ambiguïté - en même temps que sur la concision. (1)
- La poésie d'une langue où les adjectifs se conjguent, où les noms, délivrés de fioritures tels que genre ou nombre, se présentent sous la forme de dessins (1)
- La subtilité (1)
- Pourquoi aimons-nous le haiku ? Sans doute pour l'acquiescement qu'il suscite en nous, entre émerveillement et mystère. Le temps d'un souffle (un haiku, selon la règle, ne doit pas être plus long qu'une respiration), le poème coïncide tout à coup avec notre exacte intimité, provoquant le plus subtil des séismes. Sans doute aussi parce qu'il nous déroute, parce qu'il nous sort de notre pli, déchirant une taie sur notre regard, rappelant que la création a lieue à chaque instant. "Salve contre l'habitude", disait justement Henri Pichette à propos de la poésie - "ravissement soudain dans l'imprévisible", répondraient les haikistes qui traquent l'inconnu au coeur du familier. Peut-être enfin parce qu'il sait pincer le coeur avec légèreté. Rien de pesant, rien de solennel, rien de convenu. Juste un tressaillement complice. Une savante simplicité. L'éclosion spontanée d'une fleur de sens. (1)
- Comment rendre évident pour tous que l'autre est un porteur unique de savoir-faire et de créativité ? (1)
- Navigation dans l'information (1)
- Des techniques de construction interactive et de visualisation d'espaces de signification (1)
- Combinaison, mixage, réordonnancement des signes, le cyberspace interconnecte virtuellement tous les messages numérisés (1)
- Elever l'intelligence des hommes (1)
- ... En résulte un terrible désarroi, un immense besoin de collectif, de lien, de reconnaissance et d'identité... La déterriorialisation eccélérée suscite une véritable industrie de la restauration du lien social, de le réinsertion des exclus, de la refonte d'identités pour individus et communautés déstructurées... C'est sous la pression d'une véritable urgence sociale que le secteur de la production de lien est appelé à se développer. (1)
- Un immense besoin de collectif (1)
- L'aménagement d'une société vivable (1)
- La construction collective du sens (1)
- Elaborer et raffiner les problèmes communs, ouvrir de nouvelles questions, forger des arguments, énpncer et adopter des positions indépendantes les unes des autres sur une grande variété de sujets (1)
- De nouvelles puissances de compréhension (1)
- Mes hiérarchies d'intérêts (1)
- Un monde virtuel pour l'intelligence collective peut être aussi chargé de culture, de beauté, d'esprit et de savoir qu'un temple grec, une cathédrale gothique, un palais flerentin, l'Encyclopédie de Diderot et D'Alembert ou la constitution des Etats-unis. Il peut dévoiler des galaxies de langage inédites, faire éclore des temporalités sociales inconnues, réinventer le lien social, perfectionner la démocratie, creuser entre les hommes des chemins de savoir inconnus (1)
- Jusqu'à maintenant, on a surtout imaginé et construit des mondes virtuels qui étaient de simples simulations d'univers physiques réels ou possibles. Nous proposons de concevoir des mondes virtuels de signification ou de sensations partagées, l'ouverture d'espaces où pourront de déployer l'intelligence et l'imagination collective (1)
- Former ensemble des jugements (1)
- Constituer des sujets collectifs d'énonciation (1)
- Des agencements d'énonciation (1)
- Les initiatives et expérimentations minoritaires sont une dimension essentielle de la démocratie car elles permettent l'exploration de solutions alternatives aux problèmes de la cité (1)
- La richesse humaine (1)
- Une économie des qualités humaines (1)
- Rendre l'information "navigable" (1)
- Favoriser la construction de collectifs intelligents où les potentialités sociales et cognitives de chacun pourront se développer et s'amplifier mutuellement (1)
- Renouvellement du lien social par le rapport à la connaissance (1)
- Des instruments pour filtrer l'information pertinente, opérer des rapprochements de significations... (1)
- La capacité d'apprentissage et d'imagination collective (1)
- Puisqu'elle conditionne toutes les autres, la production continue de subjectivité sera probablement considérée, au siècle prochain, comme l'activité économique principale (1)
- La production de subjectivité (1)
- Interactions coopératives dans le cyberespace international (1)
- La culture, un patrimoine commun (1)
- Découpage et définition des objets (1)
- Le travail dinclusion de tous par tous (1)
- L'attention à la bonté des autres (1)
- La richesse humaine n'est plus seulement la finalité théorique de l'activité économique, elle en devient la condition expresse. (1)
- L'hospitalité maintient la possibilité de voyager, de rencontrer l'autre, en général. Par l'hospitalité, celui qui est différent, étrange, est accueilli, compris dans une communauté. (1)
- Ingénierie du lien social : l'art de faire vivre des colectifs intelligents (1)
- La réinterprétation de la mémoire (1)
- Cette imagination qui n'admettait pas de bornes, on ne lui permet plus de s'exercer que selon les lois d'une utilité arbitraire. (1)
- L'aménagement du cyberspace est un des principaux enjeux esthétiques et politiques du siècle qui vient (1)
- Des supports d'écriture dynamiques (1)
- [...] la Nature se presse de rendre compte d'elle-même à l'esprit. La classification commence. Pour le jeune esprit, chaque chose est distincte, se suffit à elle-même. Bientôt il découvre comment relier deux choses et voit en elles une seule nature ; puis trois, puis trois mille ; et ainsi, tyrannisé par son propre instinct unificateur, il continue de lier les choses, réduisant les anomalies, découvrant que sous le sol courent des racines qui unissent les choses contraires et éloignées pour les faire fleurir sur une même tige. Il apprend alors que, depuis l'aube de l'histoire, il y a accumulation et classification constantes de faits. Mais qu'est-ce que classifier, sinon percevoir que ces objets ne sont pas chaotiques, ne sont pas étrangers, mais ont une loi qui est aussi la loi de l'intelligence humaine ? L'astronome découvre que la géométrie, pure abstraction de cette intelligence, est la mesure du mouvement des planètes. Le chimiste trouve des proportions et une méthode intelligible dans toute la matière ; la science n'est rien d'autre que la découverte de ce qui est analogue, identique, dans les parties les plus éloignées. L'âme ambitieuse s'assied devant chaque fait réfractaire; elle ramène l'un après l'autre, à leur classe et à leur loi, tous les nouveaux pouvoirs, toutes les constitutions étrangères, et continue toujours afin d'animer, pénétrante, la dernière fibre de l'organisation, les limites de la nature. Ainsi lui est-il suggéré, à cet écolier qui se tient sous le dôme arqué du jour, que lui et cela sont issus d'une même racine ; l'un est feuille et l'autre, fleur; relation, sympathie courent dans chaque veine. Et qu'est cette racine ? N'est-elle pas l'âme de son âme ? (1)
- Bien employés, les livres sont les meilleures des choses ; mal employés, ils sont parmi les pires. Mais quelle est la bonne façon de s'en servir ? Quelle est la fin que tous les moyens devraient concourir à réaliser ? Ils ne servent à rien d'autre qu'à inspirer. J'aimerais mieux ne jamais voir un livre que d'être projeté par son attraction hors de mon orbite et transformé en satellite plutôt qu'en système. L'unique chose valable du monde est l'âme active [...] Il faut être inventeur pour bien lire. Comme dit le proverbe, «celui qui veut rapporter chez lui les richesses des Indes doit transporter ces richesses hors des Indes». Il existe donc une lecture créatrice aussi bien qu'une écriture créatrice. Quand l'esprit est fortifié par le labeur et l'invention, la page de n'importe quel livre s'éclaire d'allusions multiples. Chaque phrase est doublement significative, et notre auteur rend un sens aussi vaste que le monde. (1)
- La lecture (1)
- Raffinons l'architecture du cyberspace (1)
- Le savoir sur le savoir (1)
- La "théorie de l'information" n'est en fait qu'une approche mathématique de la transmission et de la circulation des messages. Elle a donné lieu à des raffinements et à des transpositions parfois très subtils. Cependant, avec les instruments quantitatifs et les concepts qu'elle a élaboré, on n'est jamais parvenu, même de loin, à traiter de la signification, au sens le plus ordinaire de ce terme. (1)
- La théorie de l'information (1)
- Ecologie cognitive : programme proposé par Pierre Lévy dans "Les technologies de l'intelligence" : élargir les perspectives des sciences de la cognition : le régime de production et de distribution du savoir ne dépend pas seulement des particularités du système cognitif humain, mais également des modes d'organisation collective et des instruments de communication et de traitement de el'information. L'écologie cognitive devrait se consacrer à l'étude des interactions entre les déterminants biologiques, sociaux et techniques de la connaissance. (1)
- La réussite marche sur les pas de la droiture (1)
- L'intellectuel est cet homme qui doit absorber toutes les aptitudes de son époque, toutes les contributions du passé, tous les espoirs de l'avenir. Il doit être une université de savoirs. S'il est une leçon qui, plus que toute autre, doit pénétrer son oreille, c'est : Le monde n'est rien, l'homme est tout; en toi se trouve la loi de toute nature, et tu ne sais pas encore comment monte une seule gouttelette de sève; en toi sommeille toute la Raison; il t'appartient de tout connaître; il t'appartient de tout oser. (1)
- L'autre a lui-même les réponses à ses propres questions (1)
- Renoncer même à vouloir comprendre (1)
- L'âme du monde (1)
- L'écopsychologie s'inscrit dans le courant de la psychologie systémique (1)
- L'écopsychologie s'intéresse aux relations que l'homme entretient avec la nature (1)
- L'intellectuel (1)
- si l'homme seul se campe résolument sur ses instincts et attend là son heure, le vaste monde viendra à lui (1)
- Place à la nature (1)
- Dans le célèbre film de Charlie Chaplin Les temps modernes (1935), l'ouvrier Charlot est martyrisé par les machines et les chaînes de montage d'une usine et quasi crucifié sur les aiguilles d'une grande horloge (1)
- Stock(s) de sens (1)
- "Oeuvres ouvertes", work in progress, c'est un art sans signature (1)
- Comment passer d'une rumeur de foule à un choeur ? (1)
- Les gisements de données (1)
- Les herméneutes se transforment en acteurs (1)
- L'effort créateur se déplace des messages, pour allers vers les dispositifs, les processus, les langages, les "architectures" dy namiques (1)
- On reste aveugle aux différentes possibilités que les nouveautés techniques offrent au devenir humain, possibilités dont d'entier éventail est rarement perçu, et qui devrait faire l'objet de délibérations, de choix, de jugements de goûts, et pas seulement de la part des spécialistes des machines (1)
- Les différences établies entre auteurs et lecteurs, producteurs et spectateurs, créateurs et herméneutes se brouilent (1)
- Les séparations entre les messages et les "oeuvres" tendent à s'effacer. Toute représentation peut faire l'objet d'échantillonnage, de mixage, de réemploi etc (1)
- La puissance symbolique accumulée par l'homme (1)
- La pensée ne se limite pas aux discours dits rationnels. Il y a des pensées-corps, des pensées-affect, des pensées-percept, des pensées-signes, des pensées-concept, des pensées-geste, des pensées-machine, des pensées-monde (1)
- Le spectacle (1)
- Se réapproprier la création signifiante, reprendre la parole (1)
- Reprendre la parole (1)
- Dans l'espace de la reproduction, de la diffusion, de la variation indéfinie, les signes ne convoquent plus les choses qu'ils désignent ni les êtres qui les profèrent. C'est cela le Spectacle : tout le réel est passé du côté du signe. Les faits, les oeuvres, les gens sont des signes. Et ils sont traités, reproduits, diffusés comme tels. Non seulement le signe ne renvoie pas à la chose absente, mais il ne peut même plus mener au début de la série, à l'original, puisque dans l'espace des marchandises, le signe n'est qu'un effet d'enregistrement, de reproduction, de diffusion : Il n'est signe que dans le circuit. L'ansence triomphe du milieu même de l'abondance: Warhol peut sérigraphier, Derrida déconstruire, Baudrillard simuler, et Philippe K. Dick édifier des univers paranoïaques où l'univers se construit à force d'illusion. (1)
- Les mots sont des puissances. Chaque nom rayone une énergie, une qualité. Grâce au souffle qui le porte, le signe n'est jamais séparé d'une présence. Les paroles sont des actes, exercent des pouvoirs, déruisent et créent. (1)
- Un agencement collectif d'énonciation (1)
- Sur la Terre, le signe participe de l'être et l'être du signe. Ici, tout nous parle. Chaque événement se fait message, et toute personne messagère. La moindre perception devient indice, image ou symbole. Bêtes et gens, astres et climats, formes et détails font signe, renvoient à des récits, des discours, des rituels. "Les parfums, les couleurs et les sons se répondent" (Baudelaire). Selon des lignes d'affects, selon le jeu des contiguïtés, des analogies et des correspondances qui organisent le cosmos. (1)
- La raison ne serait pas un attribut essentiel et immuable de l'âme humaine, mais un effet écologique, reposant sur l'usage de technologies intellectuelles variables dans l'espace et historiquement datées. (1)
- Les dispositifs matériels sont des formes de mémoires. Intelligence, concepts et même visions du monde ne sont pas seulement gelés dans les langues, ils sont aussi cristallisés dans les instruments de travail, les machines, les méthodes (1)
- Masque parmi les masques (1)
- Les masques (1)
- L'amertume (1)
- Les nombres (1)
- Je me perds dans le nombre (1)
- Don't give in to the pain (1)
- I'm the boy that can enjoy invisibility (1)
- Ombre parmi les ombres (1)
- Depuis, quand le soleil est sombre Nombre d'entre nous résistent ou bien succombent (1)
- J'ai lutté contre vents et marées Résisté aux sirènes qui voulaient me noyer Naufragé isolé seul et face au monde Malgré tous ces efforts, je ne pourrai pas sauver le monde (1)
- - Pourquoi tu peux pas sauver le monde ? - Parce que j'suis pas Superman, et qu'ça va super mal Et que Barbie et Ken sont devenus super mad (1)
- J'aimerais qu'tu fasses quelque chose Je te l'demande, promets - moi Si tu le peux, s'il te plait Si vous le pouvez : sauvez le monde (1)
- Un baby boom de Bébé Doc face à des bébés phoques (1)
- L'osmose serait de changer les choses De voir en anamorphose jusqu'à la métamorphose D'écouter le Choeur des Anges comme les voix d'outre-tombe Parce que j'entends leur cri du coeur qui nous dit : Sauvez le Monde ! (1)
- Il faudrait tout recommencer (1)
- J'aurais aimé porter la lampe, la torche et le flambeau Aimé changer le monde par le poids des mots Apporter l'étincelle au plus grand nombre Mais quoi qu'je fasse, je n'pourrai pas sauver le monde (1)
- Imagine le monde, la modernité | Avec de la volonté on peut tout changer (1)
- Tout changer (1)
- I know I can stop the pain if I will it all away (1)
- Atmosphere (1)
- En nous présentant des systèmes de classification totémique dont l'existence est incontestablement archaïque, ce livre nous prouve que le désir de classification du vivant et plus généralement de tout ce qui constitue l'univers des hommes (jusqu'aux concepts), ne correspond pas à une capacité des civilisations antiques (par exemple les systèmes de mémorisation de Cicéron), ou même modernes (systématique de Carl von Linné, combinatoire de Gottfried Wilhelm Leibniz, ou encore travaux de Francis Bacon), mais qu'il existe sans aucun doute chez les peuples de tous continents des systèmes évolués de classification et de combinaisons. (1)
- La classification (1)
- L'anthropologue brésilien Eduardo Viveiros de Castro estime qu'« en forgeant le concept fondamental de "pensée sauvage", [Lévi-Strauss] a montré que science, philosophie, art, religion, mythologie, magie, etc. se déploient en réalité sur un même axe, celui de la connaissance humaine » (1)
- Dis-moi si le printemps s'abreuve de tes gestes (1)
- Destroy all that is holding you down, ooh-ooh | And then I'll nurse you (1)
- Come to me. I'll take care of you. Protect you (1)
- You don't have to explain. I understand (1)
- I'll nurse you (1)
- Le concept de pensée sauvage (Lévi-Strauss) (1)
- Ami ne désespère pas (1)
- Catch me as I fall (1)
- Say you're here and it's all over now (1)
- Speaking to the atmosphere (1)
- Murmurer (to whisper) dans la chanson en anglais (1)
- There's a feeling I get when I look to the West | And my spirit is crying for leaving (1)
- L'éternité nous appartient | Chaque seconde la contient (1)
- It's gonna be alright (1)
- When you're by yourself | And there's no one else | You just have yourself | And you tell yourself | Just to hold on (1)
- Ils font du profit dans (dans) un monde de oufs Et te bouffent (et te bouffent) car l'aigle ne chasse pas les mouches (1)
- J'vais à la fac de la façon la plus lente | Mais j'aurais dû sécher pour éviter l'amiante (1)
- Quand le paysage cesse d'être décor, nous cessons d'être des feuilles dans la tempête (1)
- Penser depuis le paysage nous permet de nous placer dans des dimensions impersonnelles non piégées par l'immédiat du vécu des individus (1)
- Dans le paysage, nous trouvons le noyau rationnel à partir duquel l'homme peut tenter de penser, comprendre et agir dans la vie. Le point de vue du paysage nous sort de l'impuissance et du pâtir propre à notre époque obscure. Il est cet "universel concret" qui nous permet, pour paraphraser un slogan bien connu, d'"agir local et penser local". En effet, s'éloigner du local, et donc de nos paysages, n'est pas le geste qui nous permettrait d'accéder à une vision plus large, plus universelle. Bien aucontraire, c'est là que se trouve le dérapage vers l'abstraction. Car le seul "accès" à l'universel est celui qui nous est donné dans chaque paysage, celui qui est niché dans chaque situation, comme un universel concret. (1)
- Comment agir, comment les hommes peuvent-ils trouver ou construire des voies qui leur permettent de sortir du pur pâtir, du pur spectacle de leurs vies, pour aller vers un agir, une construction ? (1)
- Le "paysage" n'est pas pour nous un décor - par exemple une montagne, un arbre ou une vache -, mais cette tentative d'élargir notre propre champ perceptif pour comprendre ce qui est à l'oeuvre dans les différents processus concrets. Le paysage est la possibilité de penser, de percevoir et d'agir, depuis une focale plus concrère, plus réelle, qui ne soit pas perdue dans le zoom de la vie individuelle, ni non plus dans les grandes, abstraites et inabordables considérations trop générales qui n'arrivent pas à devenir monde. (1)
- Hold on! It's never enough (1)
- Don't give up the game until your heart stops beating (1)
- Don't give up (1)
- Il s'agit, dans l'engagement, de renouer tout simplement avec la vie en tant que processus. Il faut donc penser nos engagements et nos pratiques en terme de réconciliation avec le devenir, et non pas en tant que promesses d'avenir. Cela implique de renoncer à chercher une "solution" à la vie. S'engager, ce n'est pas s'efforcer de résoudre les choses une fois pour toute, mais soutenir et développer la tension intérieure à la vie. (1)
- L'engagement. (1)
- Une éducation et une culture centrées sur la méfiance envers les sens, et qui donnent une place privilégiée aux mécanismes de la conscience, finissent par produire aussi un refoulement de nos sensations, de nos connaissances (qui proviennent, nos pas de façon passive de nos sens, mais aussi de la réalité de notre corps, de notre propre vie), éblouis que nous sommes par les effets de la représentation symbolique (1)
- Les sens (1)
- Pour reprendre une image de Heidegger, il existe une aube du déploiement de la pensée qui ne connaît pas encore le concept. Nous dirions plutôt : où elle n'a pas encore produit le concept. La pensée préexiste au concept, mais quand celui-ci émerge de la combinatoire symbolique, les instances préconceptuelles de la pensée ne disparaissent pas pour autant. Elles cohabitent. Le concept relève de l'émergence d'un niveau supérieur de l'être à travers lequel il se regarde et se pense lui-même. Il n'est en aucun cas la condition d'existence de l'être ni de ses différents modes unifiés - situations, paysages. Nous nous situons donc dans une perspective très éloignée de ceux qui croient qu'il n'existerait qu'une distribution dichotomique entre un magma informe, d'une part, et les concepts pour lui donner existence, de l'autre. (1)
- Le fiction moi séparé du monde (1)
- Tout se passe comme si, une fois établie la fiction de la séparation de l'homme d'avec son monde, son corps, son vécu, nous passions notre temps à nous demander comment faire pour vivre, connaître et agir "malgré" cette séparation (1)
- D'après le mythe du progrès, l'homme devait être son propre messie : il devait accomplir la promesse qu'il s'était faite à lui-même d'arriver à une maîtrise totale du réel. Et la politique, bien plus que les sciences ou les arts, apparaissait comme la voie d'accomplissement cardinale de cette promesse. (1)
- Développer les connaissances veut alors dire pour nous développer l'être même, la puissance des situations et des paysages. La connaissance est ainsi liée étroitement à l'expérience. Et la question devient : qu'est-ce que nous sommes capables, ou non, d'expérimenter ? Nous connaissons parce que nous expérimentons. (1)
- L'immédiat de la représentation sature nos voies perceptives, nous privant de toute autre source de connaissance. Comme on ne sait pas que connaître c'est expérimenter, l'immédiat finit par saturer tous les processus cognitifs. Entre une connaissance acquise par des voie svirtuelles, apparemment très riche, et une expérimentation concrète, on aura de plus en plus tendance à croire que c'est la première qui l'emporte en profondeur. Et c'est ainsi que l'abstraction prend la place du concret. (1)
- Le mouvement colibri (1)
- Si nos voix s'unissaient | Quel hiver y résisterait ? (1)
- Seul, sous son saule pleureur, Solaar pleure (1)
- J'ouvre la porte du garage | Me mets aux commandes du mirage { Décollage, demi-tour, dommage, j'explose tout dans les parages (1)
- Et puis à Mach3 je vole, à 15 mètres du sol | J'ai des missiles Airsol au cas où je vois des parasols (1)
- Le monde est docile (1)
- La vie est belle (1)
- Mais le monde est complexe | J'ai le typex | Comme tout le monde je reste perplexe (1)
- La perplexité (1)
- Comme un oiseau sans aile. La joie est vers le ciel, l'échec, la vie est belle. (1)
- Mon altimètre me prouve que je descends à très vive allure | Je traverse les nuages et ils sont doux comme ta chevelure (1)
- Nageur de combat je me dois de détruire tous leurs sous-marins de poche (1)
- Je mettrais des couleurs aux peines (1)
- J'inventerais des edens (1)
- Le paradis (1)
- An aeroplane leaves a trail in an empty blue sky (1)
- It's a dream | Only a dream | And it's fading now | Fading away | It's only a dream | Just a memory without anywhere to stay (1)
- Faut que les mecs se mettent en tête que ça pète : Fuck la Jet-Set (1)
- I try to ignore what the paper says | And I try not to read all the news (1)
- Turn my head | Off | Forever| Turn it off | Forever | Off forever | Turn it off forever (1)
- It hurts to hold on (1)
- L'acquis du monde humain (1)
- L'univers entier est sentiments et émotions des fleurs (1)
- L'infinité inépuisable du passé, du présent et du futur (1)
- Transpercer, voilà le secret ! (1)


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