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- Un sentiment du monde comme miracle. Un sentiment d'ouverture à l'insondabilité des choses que semble avoir peu ou prou oublié l'héritage philosophique occidental, gouverné d'ordinaire par un esprit de distance vis-à-vis de la réalité (1)
- L'insondabilité des choses (1)
- Débordant les mots par les mots, leur faisant dire ce qu'ils ne semblent pouvoir dire, il [le haiku] gambade toujours aux limites du langage. Et s'il apparaît comme l'expression vraie d'un vertige, c'est sans doute parce qu'il s'attache à ciseler sans fin cette pure aporie : mettre en mots le silence (1)
- "On appelle phrase morte une phrase dont le langage est encore du langage : une phrase vivante est celle dont le langage n'est plus du langage", Leang-Kiai de Tong-chan (1)
- Art de l'ellipse et du bref, le haiku se tient à l'évidence du côté de la "phrase vivante", mais il procède par retranchement, par soustraction - par dépouillement. Habité par une exigence d'expression absolue, il dénude la langue jusqu'à sa moelle. (1)
- La langue (1)
- L'ellipse (1)
- Si le haiku est un exercice spirituel, c'est au sens où il approfondit le spiritus, c'est à dire le souffle, du monde en nous. (1)
- Exercices spirituels (1)
- Le fugitif (1)
- Toutes les formes de coïncidences. (1)
- La coïncidence (1)
- Le lieu commun (1)
- L'éveil (1)
- L'être est voué à se défaire corps et âme, à se fondre dans le vide (1)
- Corps et âme (1)
- L'éveil ? Une limpide immédiateté, sans la moindre grandiloquence. Une immanence prête à bruire dans les lieux les plus communs. Sauf qu'il n"est plus ici aucun lieu commun. Comme si chaque chose dans sa dimension fugitive dévoilait l'économie ultime de la nature (1)
- Une poésie fondée sur l'imprécision et l'ambiguïté - en même temps que sur la concision. (1)
- La poésie d'une langue où les adjectifs se conjguent, où les noms, délivrés de fioritures tels que genre ou nombre, se présentent sous la forme de dessins (1)
- Le problème, c'est nous (1)
- Forcer le destin (1)
- Nous sommes au seuil d'une renaissance inouïe portée par la France (1)
- Le vrai pouvoir est d'accroître celui d'autrui (1)
- Recommencer l'époque (1)
- La passion pour la France (1)
- En secret le camélia devine la présence du prunier (Hayashibara Raisei) (1)
- Le monde est devenu un cerisier en fleurs (Ryôkan) (1)
- La cloche se tait - les fleurs en écho parfument le soir ! (Matsuo Bashô) (1)
- L'art de jouir de l'existence (1)
- L'écume grise de l'actualité (1)
- Convertir la société civile française en une puissance politique centrale (1)
- L'époque opaque (1)
- Vous entendrez demain | De nouvelles salades (1)
- Notre si longue sumission (1)
- Désobéir à la fatalité (1)
- Nos esquives accumulées (1)
- Assumer notre désir légitime de renverser la table (1)
- Les boulimiques d'action (1)
- Sans souci elle contemple la montagne la grenouille (Kobayashi Issa) (1)
- Soir d"hirondelles - demain encore je n'aurai rien à faire (Kobayashi Issa) (1)
- Les territoires de sens (1)
- Ce "flou irisé de ressources" qu'évoque Claude Roy à propos du chinois. (1)
- les ressources (1)
- La sémantique (1)
- La pensée discursive (1)
- La grammaire (1)
- La graphie japonaise - alliant idéogrammes et syllabaire phonétique - favorise l'extrême densité du haiku. Là où l'écriture littéraire de l'Occident semble donner d'emblée un socle cartésien à la description de la réalité, la figure fulgurante de l'idéogramme se prête plus facilement à "l'expression de l'inexprimable", à la transmission d'un espace que ne saurait saisir la seule pensée discursive. En outre, la structure même de la langue favorise l'ambiguïté. Le japonais offre un vocabulaire des plus riches, à la fois flou et extrêmement nuancé. Il décline le monde avec autant de subtilité que le français - mais sur un mode plus énigmatique. Ici, un vocable recouvre souvent un éventail de notions que d'autres mots traversent. Incertaine, la frontière délimitant les territoires de sens dévoile tout un champ d'associations. Ambiguïté permanente qui déploie l'étendue de ses facettes dans le haiku, jusqu'à en faire parfois un véritable "langage crépusculaire", lequel n'est pas sans évoquer le sandhya-bhasa ("langue du paradoxe") chère au bouddhisme médiéval indien : les mots sont alors détournés de leur rôle en vue de dire un au-delà (ou un en-deça) d'eux-mêmes, de cerner une conscience globale antérieure à toute conceptualisation, y compris celle du langage. Au delà du clair de lune je laisse ma barque pour entrer dans le ciel (Koda Rohan) La grammaire particulière du haiku nourrit encore d'autres ambivalences. Ainsi, le "collage" de plusieurs idéogrammes - dont la fonction grammaticale reste "flottante" - ouvre la porte à plusieurs sens, révélant du même coup une palette d'interprétations. Les sens se chevauchent, se complètent, se démultiplient - trivial et spirituel s'entrecroisent. Le flou sémantique accroit l'exactitude poétique. Un seul et même mot, uta, désigne en japonais la poésie et le chant. Et c'est à voix haute, comme un chant, que le haiku se lit. (1)
- Exprimer l'inexprimable (1)
- L'étrangeté est toujours partageable (1)
- L'étrangeté (1)
- Profond plus profond encore dans les montagnes bleues (Santôka) (1)
- Dans la brume de printemps le vol blanc d'un insecte au nom inconnu (Yosa Buson) (1)
- Douceur de la brise dans le vert de mille collines un temple isolé (Masaoka Shiki) (1)
- Prépare-toi à la mort prépare-toi bruissent les cerisiers en fleur (Issa) (1)
- Questions/réponses (1)
- Nuit sans fin - je pense à ce qui viendra dans dix mille ans (Shiki) (1)
- Tu es riche ? J'ai tout Je ne me possède plus (1)
- Guérir du moi (1)
- J'ai pour tout salaire | Ma peine perdue (1)
- Le soin apporté à chaque action a une valeur propre (1)
- Des mots cris (1)
- On dit ce que l'on ressent, ce que l'on est (1)
- Pour moi enfance a rimé avec... souffrance (1)
- La fraternité n'est pas qu'une idée (1)
- Les méfaits de la civilisation (1)
- [...] et que les sauvages qui commettent ces forfaits sont effrayants, et que les civilisés qui les laissent commettre sont épouvantables. (1)
- Tu veux du "toujours" toi, mais plus tard (1)
- Toujours (1)
- Chercher une raison de vivre (1)
- C'est facile de créer un coeur de pierre. C'est moins facile de créer un coeur dont on est fier (1)
- Du temps perdu à courir après l'argent (1)
- J'ai atterri, pour travailler, dans une grande cité. Où on pouvait me considérer comme un étranger (1)
- Des êtres animés de bonté (1)
- Cette immense joie qui était en "FETE" en moi à ce moment là (1)
- Redonner de l'espoir (1)
- Faire le bien, envers et contre tout (1)
- On a simplement besoin de...quoi...? De s'exprimer, d'être rassuré, écouté, cocooné... pour mieux évacuer ce qui nous a traumatisé, angoissé (1)
- Un Coeur à Fleur (1)
- Reposer les choses (1)
- Pleutre, tu vois des ombres parce que tu as peur dans le noir (1)
- T'es pas déjà morte toi ? (1)
- Le culte du succès (1)
- L'exègèse savante n'a pu rendre la pensée de Schopenhauer ni plus claire, ni plus systématique. Tout au plus a-t-on tenté de ranger ses propositions sous des catégories provenant d'autres systèmes. (1)
- Ce qui signifie que l'efficacité ne vient plus strictement de moi, sujet d'initiative, concevant et voulant, construisant idéalement un plan, puis m'acharnant à le mettre en oeuvre, selon le bon vieux rapport théorie-pratique dont l'Europe n'a pas décollé ; mais qu'elle procède à même la situation si je sais y diagnostiquer le potentiel en ma faveur, à titre de facteurs porteurs, puis l'exploiter graduellement. La situation ne sera plus, dès lors, cette donnée rétive et résistante à quoi je dois imposer mon plan dressé d'avance, mais une mine dont j'explorerai les filons, un champ de ressources dont je suivrai les sillons tel un réseau d'opportunités diverses sur lesquelles j'apprends à "surfer" (1)
- En Schopenhauer s'exprime déjà le nihilisme de ce siècle, le vide d'un monde sans dieux, ce vide que l'oin cherche alors à remplir en substituant aux anciennes certitudes la foi dans le progrès et les sciences, le culte de l'histoire et du succès, ou, plus banalement, la sécurité matérielle et le confort moral. (1)
- Schopenhauer prêche la résignation et l'anéantissement de la volonté (1)
- La tragédie du vouloir (1)
- Le goût de la clarté (1)
- Schopenhauer, selon le mot de Thomas Mann, est un "humaniste pessimiste" (1)
- L'art du surf (1)
- Il s'agit, en effet, de rien de moins, pour le sujet, que de renoncer à son initiative de "sujet". d'un sujet qui dés l'abord présume et projette, choisit, décide, se fixe des fins et s'en donne les moyens. Or, s'il renonce momentanément à ce pouvoir de maîtrise, à quoi l'invite la disponibilité, c'est qu'il craint, alors, que cette initiative dont il se prévaut ne fasse barrage et soit intempestive, qu'elle le ferme à l'"opportunité"... (1)
- Avoir un (1)
- Les chiens, les chats et les rats (1)
- Le nominalisme et la querelle des universaux (1)
- Du choix dans la pensée (1)
- Le juste milieu, pour qui sait le penser avec rigueur, est de pouvoir faire l'un aussi bien que l'autre, c'est à dire d'être capable de l'un comme de l'autre extrême. C'est dans cet "égal" de l'égal accès à l'un comme à l'autre qu'est le "mi-lieu". Trois ans de deuil à la mort de son père, nous dit-on, ce n'est pas trop ; mais boire des coupes sans compter au cours d'un banquet, ce n'est pas trop non plus - je n'exagère d'aucun côté (mais vais à l'extrême de chaque possibilité, remplis complètement chaque exigence). Le risque est plutôt que, s'enlisant d'un côté, on se ferme à l'autre possibilité et qu'on en rate ainsi l'occurence. Par opposition à quoi, la disponibilité sera de maintenir l'éventail complètement ouvert - sans raidissement ni évitement - de façon à répondre pleinement à chaque sollicitation qui passe, c'est à dire sans rien laisser de côté ni soi-même se braquer. (1)
- Non, cette déprise de la disponibilité est une prise, et même plus adroite parce que fluide, non engoncée, non arrêtée. La notion, en même temps qu'elle est éthique, est stratégique. "Prise" d'autant plus efficace qu'elle ne se localise plus, ne se spécifie plus, ne s'impose plus. Elle est d'autant plus continûment ajustée que , ne visant plus, elle n'est jamais déçue ni dapourvue, elle n'est ni déroutée ni fragmentée. "Prise" d'autant plus ample - ou plutôt ne connaît elle plus de borne ou d'extrémité - du seul fait qu'elle ne se donne plus de piste à suivre, de but à satisfaire, de quête à combler, d'objet à s'emparer. Car cette prise par déprise n'est plus orientée ; elle ne projette plus, elle est sans ombre portée, n'est plus conduite par une intentionalité, tient par conséquent tout à égalité. Son captage est grand ouvert parce qu'il n'attend rien à capter. (1)
- Le sage, autrement dit, maintient tous les possibles ouverts, n'en exclut à priori aucun, et se maintient dans le compossible (1)
- Le(s) possible(s) (1)
- Etre vivant pleinement (1)
- Echanger avec toi... "cet étranger" (1)
- Sa majesté domine bien son sujet (1)
- La rébellion (1)
- Climb for my majesty | A bone to chew for you and me (1)
- A quoi bon (1)
- Computer illiterate (1)
- The rift between two worlds (1)
- L'eau qui dort (1)
- Ote à mes mots la muselière (1)
- La censure (1)
- Sa majesté domine bien son sujet | Dans notre servitude elle trouve sa plénitude (1)
- La servitude (1)
- Pierre Lévy a inventé un langage, l'IEML, qui permet de raisonner et qui pourrait servir de modèle pour une mutualisation des différents systèmes de données. (1)
- Je t'en prie, Jivaro, vide vite mon cerveau. Je t'en prie Jivaro, réduis ma tête à zéro (1)
- Le ciné, la télé, et même le LSD, n'arrivent plus, Jivaro, à me faire décoller (1)
- Une idée serait de combiner les modèles neuronaux et les modèles symboliques. (1)
- La recherche au niveau de l'intelligence collective à support numérique a pris historiquement deux directions concurrentes : les modèles neuronaux (Chat GPT...), et les modèles symboliques (shema.org, wikidata, cidoc crm pour les musées...). Le développement des systèmes symboliques demande de la main d'oeuvre experte (il faut les faire à la main), de l'argent et du temps, pèche au niveau de l'interopérabilité entre systèmes. Les modèles neuronaux parce que probabilistes (paterns...) génèrent des erreurs, sont opaques. Les modèles d'intelligence artificielle symboliques sont des systèmes de classifications avec des relations entre les classes (étiquettes, tags, ontologies, knowledge graphs...). C'est un système d'organisation des données qui va favoriser leur exploration, leur restitution quand on en a besoin et le raisonnement automatique.. (1)
- Laissez flotter vos idées noires | Près de la marre aux oubliettes (1)
- Les bobos... (1)
- Comment utiliser l'intelligence artificielle pour augmenter l'intelligence collective ? (1)
- Les braises incandescentes sont encore | sous la cendre froide | Autrement dit, sois toujours | Au rendez-vous (1)
- Les apaches (1)
- VIVRE ENFIN VIVRE (1)
- Un jour viendra, on se prendra tous dans les bras, tout aura été mis à plat (1)
- Un jour viendra où le mot Harmonie ne sera plus synonyme d'Utopie (1)
- L'Avenir de l'Hospitalité (1)
- Aller à la rencontre... de cette... autre... âme... humaine... (1)
- Une relation à coeur ouvert, de Coeur à Coeur (1)
- Il faut parfois dévoiler son intimité (1)
- Nous m'AIME (1)
- L'Harmonie (1)
- Au début on est content d'être un enfant rempli de rêves, puis on y met vite une trêve (1)
- Eloge des institutions (1)
- L'universel (1)
- Le tourisme (1)
- "Inventer une rencontre singulière exige un effort soutenu d'attention. Organiser un service collectif suppose le renfort d'une institution. La première voie est éthique et morale, la seconde est politique et économique." (1)
- Construire des ponts (1)
- "Père que tous soient un?" (Jn 17, 21), Prière de Jésus (1)
- La spiritualité de l'unité (1)
- Un monde plus uni (1)
- Du moins l'esprit humain peut-il se reconnaître dans le non-moi et parvenir au renoncement volontaire, à la résignation, à la véritable impassibilité et à l'arrêt absolu du vouloir. (1)
- Ce n'est qu'un début (1)
- Le rite (1)
- Réanimer le monde (1)
- It's not fair (1)
- Les nuages (1)
- Les kigo ou "mots de saison" (1)
- Let go off complicated feelings (1)
- If you've been hiding from life | I can understand where you're coming from (1)
- If you've suffered enough | I can understand what you're thinking of (1)
- You've got to take this moment | Then let it slip away (1)
- L'éclat d'u regard (1)
- Le regard (1)
- L'oisiveté (1)
- Le mauvais coton (1)
- La vache enragée (1)
- Un excès d'expériences (1)
- La bibliothérapie (1)
- La chaleur d'un sourire (1)
- la lecture de romans renforce l'empathie (1)
- L'empathie (1)
- Less is more (1)
- L'art minimal est basé sur le principe de l'économie des moyens. L'intervention de l'artiste sur l'oeuvre doit être poussée à son minimum. (1)
- Une pensée bien élaborée qui pourrait étonner pour l'Egypte pharaonique, mais non. (1)
- Je mens | Pour te convaincre | Que rien ne peut plus vaincre | Un amour infini (1)
- I lie | To convince you | That nothing can overcome | An infinite love (1)
- La pensée enfouie (1)
- Les clichés (1)
- Je le veux aimant, ce qui fut avant qu'il n'y ait le monde (1)
- Je recherche le visage qui fut le mien avant qu'il n'y ait le monde (1)
- Return your work to the anvil twenty times; polish it endlessly, and polish it again. (1)
- Le cirque dans les chansons (1)
- Il fallait courir (1)
- Tendre au dépouillement plutôt qu'à l'accumulation des détails, choisir, par exemple, dans le dessin, entre toutes les combinaisons possibles, la ligne qui se révélera pleinement expressive, et comme porteuse de vie (1)
- Regarder la vie avec des yeux d'enfant (1)
- Ces mots simples (1)
- Simplifier la peinture (1)
- Le rasoir d'Occam (1)
- Le ciel souriait (1)
- Le ciel (1)
- L'école de Palo Alto (1)
- Paris qui n'est à personne, est à toi si tu le veux (1)
- Un matin qui sourit (1)
- Le concept existentialiste de "facticité" de l'existence (1)
- L'action au fonds ne change rien et n'"agit" pas (1)
- "Au fond", concept houellebecquien (1)
- Il n'est à chercher de force et de vertu humaine que dans le domaine de la contemplation (1)
- La présence (1)
- Votre sourire, est-ce un sourire ? (1)
- Lingua ideale, generosa, sensuale, la nostra lingua italiana (1)
- Les larmes (1)
- "Le monde nous a foutus dehors", Jacques Prévert (1)
- Nietzsche déclarait préférer lire Schopenhauer dans sa traduction française que dans sa version originale (1)
- La volonté ou le vouloir-vivre comme essence du réel (1)
- A propos du "monde comme volonté et comme représentation", on ne saurait parler de système, car il ne s'agit pas d'un édifice logique, patiemment construit, par déductions successives, mais bien d'une vision unique, d'un éclair génial; d'une intuition d'artiste qui satisfait l'esprit d'un coup ou le repousse définitivement. C'est dire qu'on ne réfute pas Schopenhauer, on l'accepte ou le rejette. (1)
- Schopenhauer s'approprie la théorie platonicienne des Idées qui ne sont en définitive que des approximations de la véritable essence du Monde, de la chose en soi, enfin reconnue et déterminée comme volonté. (1)
- La sagesse des nations (1)
- La pensée (représentation) est impuissante à modifier le cours de la volonté. Elle doit se contenter du rôle d'informateur infidèle et générateur d'illusion. (1)
- La volonté est omniprésente et toute-puissante (1)
- Pour être heureux, un homme ne doit pas croire en l'avenir (1)
- L'art comme contemplation, c'est à dire libération des souffrances occasionnées par la réalité et la volonté (1)


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